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Fort Boyard, RTL, ses livres : Paul El Kharrat évoque son actualité !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Paul,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous avez participé, fin juin, au Festival Des livres, des stars. On imagine la joie et le plaisir que cela a été de pouvoir retrouver le public et de pouvoir échanger avec les spectateurs ?

Oh, c’était très agréable et très conciliant de rencontrer du public venu faire dédicacer des ouvrages ou un selfie. Le relationnel entre humains a repris, on va dire, par le biais de ce Festival, dont l’association permet de lutter contre l’illettrisme. Quoi de mieux ? C’était une bonne nouvelle pour les amateurs de livres écrits par des personnalités de tous horizons.

 

 

En quelques mots, comment caractérisez-vous le livre que vous aviez présenté ?

Je pense avant tout que c’est un manuel pour les enfants souffrant du syndrome d’Asperger à usage des autistes. Mais c’est aussi et avant tout un livre biographique qui retrace mon parcours télévisuel et aussi mon parcours personnel. D’ailleurs, c’est comme cela que mon livre s’articule, un chapitre sur deux est sur ma vie personnelle et l’autre sur ma vie aux jeux. Ce livre, sorti en septembre de l’année dernière, est censé aider, est censé éclairer et mettre en lumière un syndrome trop longtemps méconnu. Quoi de mieux de l’écrire pour ma part, à titre personnel mais aussi pour le bien commun.

 

 

Justement, quels principaux retours avez-vous pu avoir des lecteurs ?

Beaucoup m’ont dit que, grâce à mon parcours, grâce à ma personnalité, j’avais pu aider de nombreuses personnes ayant trait à l’autisme ou ayant un syndrome autistique. C’est tout le bénéfice que je peux tirer de l’écriture de ce livre et des séances de dédicaces qui s’en suivent. J’ai pu rencontrer un public qui m’a suivi, qui vient faire dédicacer son livre et qui vient échanger avec moi. Ils sont très contents d’avoir leur petite signature ou leur petit selfie. Les retours ont été plus que positifs, je pense, dans la globalité des faits. J’en suis assez content. C’est une belle histoire qui se poursuit.

 

 

En complément, quelles sont vos autres actualités du moment ?

J’ai fait « Fort Boyard », qui passera le 14 août prochain. Je continue « Les Grosses Têtes », à partir du 23 août. J’en suis un sociétaire à part entière. Je vais poursuivre l’écriture de livres parce que j’aime la littérature et que j’aime écrire des ouvrages. Ce seront désormais des livres à visée historique, le prochain sera sur les tueurs en série, moi qui suis un amateur de criminologie, qui est un versant un peu particulier de l’histoire mais qui m’intéresse tout autant. Le livre sera disponible en septembre, ce sera tout autre chose que la biographie que j’avais pu sortir l’année dernière.

 

 

En un mot, on imagine que ça a été une fierté de participer à « Fort Boyard », une émission emblématique de la télévision ?

Oui, ça a été une bonne nouvelle d’apprendre que j’allais être convié à ce cercle très fermé, très privilégié de personnalités qui montent sur le fort et qui font les épreuves. Il est vrai que, pour une première, j’ai trouvé cela très long. J’avais un peu moins d’épreuves que les autres et, forcément, il y a eu une petite déception. Mais c’est la première que je faisais, je compte bien y revenir et refaire encore plus d’épreuves, ça serait super génial pour moi. En tout cas, c’était une très belle expérience, elle serait à refaire, vraiment. J’espère que l’on me refera venir sur le fort pour en faire encore plus parce que je suis amateur de sensations et d’épreuves.

Merci, Paul, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Fort Boyard : Carinne Teyssandier évoque sa nouvelle participation à l'émission emblématique de France 2 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Carinne,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous partez, samedi 14 août prochain, à l’assaut du fort pour la deuxième fois. On imagine, à titre personnel, le plaisir et la joie que ce doit être de participer à nouveau à cette émission emblématique et mythique de France 2 ?

Oh oui, emblématique et mythique, elle l’est, à n’en point douter. Je regardais ça quand j’étais petite, aujourd’hui c’est ma fille qui ne loupe pas une miette et j’avoue avoir toujours autant les pétoches à chaque fois que j’arrive dans ce fort, ne sachant pas du tout à quelle sauce je vais être mangée. Mais, voilà, rien que pour voir les yeux de ma fille briller, ma motivation est décuplée, vraiment.

D’ailleurs, que représente, pour vous, ce programme ? Quels souvenirs aviez-vous des émissions que vous regardiez ?

J’avoue que j’étais fan des énigmes du Père Fouras. Pour moi, c’était ça surtout le clou du spectacle, j’adorais résoudre les énigmes avec une grande fierté avant même que le candidat n’ait pu donner sa réponse. Ce que je n’ai pas du tout fait lors de ma dernière participation, cette année…on n’a pas trouvé l’énigme, alors qu’on l’avait trouvée en répétition. Au brief, on était tous brillants mais, le moment venu, on est complètement passés à côté.

 

 

Le fait d’avoir déjà participé au programme permet-il de mieux l’appréhender ? Ou, à l’inverse, le fait d’avoir déjà connu l’impact de certaines sensations augmente-t-il l’appréhension ?

Non, c’était plus rassurant qu’inquiétant parce que la première fois, c’est quand même vraiment le baptême du feu, vous ne savez pas du tout comment se déroule la journée de tournage, c’était vraiment le grand saut dans l’inconnu. Mais c’était une journée très agréable parce que l’équipe était super. Gérard Vives était vraiment un coéquipier de qualité, très sportif, très généreux donc on était vraiment bien. Pour la deuxième fois, les épreuves n’étaient pas du tout les mêmes, vous savez que, chaque année, le fort se réinvente donc je ne savais, pour le coup, pas du tout ce que j’allais devoir faire.

Avez-vous certaines peurs, qui vous faisaient craindre plus particulièrement certaines épreuves ?

Le restaurant de Willy Rovelli…cette année, il n’existe plus en tant que tel mais, évidemment, je me suis quand même retrouvée, je ne sais pas comment je me débrouille, à manger ses spécialités. Et puis, je les redoutais sans les redouter, les sauts dans le vide. C’est tellement un défi sur soi-même.

 

 

A l’inverse, en attendiez-vous d’autres avec une certaine impatience ?

Je ne suis pas sûre que l’on ait envie de se jeter sur les épreuves de « Fort Boyard »…Non, il n’y avait pas vraiment d’épreuve, à part le saut à l’élastique, où c’est vraiment extrêmement paralysant mais, lorsqu’on réussit à le faire, c’est extrêmement fort, c’est un vrai souvenir assez incroyable…mais je n’ai pas eu à faire cela.

Un mot sur la « Fondation Frédéric Gaillanne » que vous défendez ? On peut penser que c’est une source supplémentaire de motivation pour vous et toute l’équipe ?

Complètement ! En plus, pouvoir offrir, à des enfants déficients visuels, des chiens guides d’aveugle est une motivation incroyable. Dave, qui est le parrain, nous a bien expliqué toute l’histoire de cette fondation et, bien sûr, que l’on a envie d’aider ces enfants. On se donne à fond, à fond, à fond.

 

 

Une fois que les caméras ont commencé à tourner, quelles sensations ont prédominé en vous ?

La joie, franchement. La joie d’être de nouveau sur le fort, la conscience d’être dans un moment privilégié parce que l’ouverture au fort est extrêmement réduite. La conscience d’être dans un moment unique, la joie d’en profiter. La joie de revoir Olivier Minne, que j’adore. La joie de découvrir cette équipe avec qui j’ai co-combattu les épreuves. La joie de rencontrer de nouvelles personnes. C’est humainement très enrichissant, c’est intense, c’est fatiguant, c’est fort en émotions mais ça laisse un souvenir incroyable.

On peut penser, à la vue des partenaires qui vous accompagnent, que l’ambiance était, malgré les craintes et les peurs de certaines cellules, plutôt joyeuse ?

Oui, oui, absolument, elle est très chaleureuse. Déjà parce que l’on est tous contents d’être là. On est contents de se rencontrer les uns les autres, parfois on se voit à la télé mais sans forcément se connaitre. Donc faire de nouvelles rencontres est toujours extrêmement agréable. On est tous hors zone de confort donc on est tous vraiment logés à la même enseigne, il y a une vraie solidarité, une vraie envie de bien faire, voilà une envie de passer des moments uniques, de s’amuser. C’est vraiment très enrichissant.

 

 

Sans rien en dévoiler, quel principal souvenir gardez-vous du tournage ?

J’allais dire que ce qui m’a le plus marquée, c’est presque une histoire de coulisses. Cette année, il y a une deuxième partie de soirée, qui n’existait pas lors de ma première participation. En fait, de voir le fort allumé, illuminé comme cela la nuit, avec ces grands bacs de flammes, c’était sublime. Vraiment, l’éclairage était magique, on avait l’impression d’être ailleurs, dans un autre temps, c’était complètement dépaysant et cette ambiance comme cela, du fort la nuit, était assez incroyable. Vraiment, cela m’a marquée.

Avec le recul, selon vous, quelles sont les principales caractéristiques nécessaires pour être une bonne candidate sur « Fort Boyard » ?

Avoir envie, c’est la base de tout. Avoir envie d’être là, de se faire plaisir, de se dépasser… ne pas avoir peur du ridicule, c’est important…y aller à fond, il n’y a pas de demi-mesure, il faut être entier et avoir envie, c’est vraiment essentiel, il faut être content et heureux d’être là, de participer à cette émission.

Si l’occasion se présente à nouveau, on vous imagine prête à repartir sur le fort ?

Sans hésitation, oui, je fonce, je fonce, pour vivre d’autres aventures, pour rencontrer d’autres personnes, pour partager d’autres moments. Ah oui, oui, je fonce sans hésiter, je suis volontaireJ

Merci, Carinne, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Lorie Pester évoque son actualité et ses projets !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Lorie,

Quel plaisir de vous retrouver pour ce nouvel entretien !

Vous avez participé, fin juin, au Festival Des livres, des stars. On imagine la joie et le plaisir que cela a été de pouvoir retrouver le public et de pouvoir échanger avec les spectateurs ?

Oh oui, je pense que ça a manqué à tout le monde en fait. Le fait de pouvoir se retrouver, de se voir enfin….ce contact, ce rapport humain m’ont beaucoup manqué, c’était ça le plus difficile.

En quelques mots, comment caractérisez-vous le livre que vous aviez présenté ?

C’est un livre de développement personnel et, dedans, je donne plein de petits conseils, à pratiquer au quotidien pour essayer de positiver, de se sentir mieux quand la vie nous met face à des évènements compliqués. Donc il y a plein de choses différentes…du lâché prise, comment surmonter un échec, la culpabilité, le pouvoir du moment présent…voilà, tout plein de choses comme cela.

Je lis énormément de livres de développement personnel et ils me font du bien. Je me suis dit que si ça me faisait du bien, ça pourrait en faire aux autres. Donc, à chaque fin de chapitre, je finis avec mon conseil de lecture et je suggère un livre sur ce chapitre-là qui, lui, m’a aidée, aux fans qui ont envie d’aller plus loin dans le processus.

Justement, au-delà de l’envie que vous venez d’évoquer, comment avez-vous fait ensuite le choix des thèmes et des sujets abordés ?

Oh, ça a été difficile, je pourrais faire un tome II avec plein d’autres thèmes que je n’ai pas écrits. Ça a été les premiers thèmes que l’on aborde en développement personnel en fait, des thèmes assez simples, qui reviennent assez souvent.

 

 

Quels sont les principaux retours que vous pouvez avoir de vos lecteurs ?

Des bons retours, vraiment. J’ai eu beaucoup de personnes qui m’ont dit que mon livre leur a fait beaucoup de bien, eux qui, en ce moment, ont des problèmes. A chaque fois, ils me disent que ce livre-là a été un bon atout pour les aider à remonter, à relever la tête, à se sentir mieux. Franchement, ça me fait plaisir….En écrivant ce livre, je me suis dit « bon, moi, ça m’a aidé, peut-être que ça va aider des personnes » et je m’étais dit que si ça n’aidait juste qu’une seule personne dans le monde, alors je serais contente parce que j’aurais aidé quelqu’un. Au Festival, j’en ai eues au moins une vingtaine qui m’ont dit cela et ça m’a fait vraiment plaisir.

C’est, quelque part, la plus belle des satisfactions ?

Exactement, c’est çaJ.

Plus généralement, ce projet-ci vous a-t-il donné l’envie d’en écrire un nouveau ?

Oui, pourquoi pas. J’aime beaucoup, il faut que j’y réfléchisse, je suis en train de bosser sur d’autres choses mais pourquoi pas, en effet. Pour le reste, il faudra attendre plutôt la fin de l’année afin d’en savoir plus, notamment via mes réseaux sociaux.

Merci, Lorie, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Fort Boyard : April Benayoum, 1ère dauphine de Miss France 2021, évoque sa participation à l'émission mythique de France 2 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour April,

Merci d’avoir accepté de répondre à quelques questions pour notre site !

Vous partez, ce samedi soir, à l’assaut, pour la première fois, du fort. On imagine, à titre personnel, le plaisir et la joie que ce doit être de participer à cette émission emblématique et mythique de France 2 ?

Oui, c’est vrai que c’est la première fois que je participais à « Fort Boyard » et j’ai hâte de voir l’émission ce samedi soir. C’est une émission emblématique, je pense que chaque français a vu au moins une fois le programme. Donc je suis très heureuse d’y avoir participé.

D’ailleurs, que représente, pour vous, ce programme ? Le regardiez-vous déjà plus jeune, en famille, le samedi soir ?

C’est vrai que ça m’est arrivé, quelques fois, de le regarder avec mes parents. Après, ce n’est pas forcément une émission que j’avais l’habitude de voir chaque samedi soir mais je connaissais très bien le jeu, je voyais très bien en quoi ça consistait et je connaissais les épreuves.

Je l’ai dit sur place et je pense que vous pourrez le voir demain, l’émission qui m’a beaucoup marquée était celle avec des Miss France, où Malika Menard avait fait le saut de l’ange. Je m’étais dit qu’il fallait vraiment être très très courageux pour sauter dans le vide comme ça, au-dessus de la mer.

Avez-vous certaines peurs, qui vous faisaient craindre plus particulièrement certaines épreuves ?

Oui, je vous avoue que j’avais quand même assez peur d’avoir des épreuves avec des insectes, je les redoutais. C’était ma crainte principale. Je n’ai pas peur du vide donc, sur ce point, ça allait.

A l’inverse, en attendiez-vous d’autres avec une certaine impatience ?

Il y a certaines épreuves, c’est vrai, qui me plaisaient plus que d’autres. Par exemple, une épreuve que l’on pourra voir demain, celle du casino, que j’aurais adoré faire parce que j’adore les manèges à sensations ainsi que les sensations fortes. Ça se rapprochait assez de cette épreuve.

 

 

Un mot sur l’association « P-WAC » que vous défendez ? On peut penser que c’est une source supplémentaire de motivation pour vous et toute l’équipe ?

Bien sûr ! C’est une émission avec des épreuves donc, déjà, on se surpasse pour se prouver certaines choses. En plus, on a une association derrière qui compte sur nous donc c’est vrai que c’est une source de motivation pour toute l’équipe.

Une fois que les caméras ont commencé à tourner, quelles sensations ont prédominé en vous ?

Je dirais qu’il y avait plusieurs sensations. Déjà, de l’excitation parce qu’on a des sensations via les épreuves durant toute la journée de tournage. Aussi de la joie parce que je me rendais compte que j’étais en train de participer à une émission mythique et que je faisais des épreuves que beaucoup aimeraient faire.

On peut penser, à la vue des partenaires qui vous accompagnent, que l’ambiance était, malgré les craintes et les peurs de certaines cellules, plutôt joyeuse ?

J’ai eu la chance d’avoir une équipe incroyable. J’ai énormément ri durant ce tournage, franchement je suis très contente d’avoir fait cette émission avec eux, ils ont été géniaux, j’ai adoré tourner et passer ces moments avec eux, vraiment c’était incroyable.

Forcément, quand il y a une très bonne entente dans l’équipe, ça donne envie de se motiver ensemble. A chaque fois que l’une des personnes de l’équipe faisait une épreuve, on l’encourageait derrière l’écran, on la soutenait.

Aviez-vous, avant que les caméras ne tournent, demander des conseils à des camarades ayant déjà participé à l’émission ?

En fait, j’avais envie d’aller sur le tournage comme ça, avec vraiment mon propre ressenti et j’avais envie de vivre tout à 100%. Donc je n’ai pas demandé, c’est vrai, de conseils spécifiques. En plus, quand on arrive, on nous explique vraiment tout pas à pas. C’est normal car, quand on voit l’émission à la télé, on a l’impression que c’est clair et limpide mais il faut des explications derrière.

 

 

Sans rien en dévoiler, quel principal souvenir gardez-vous du tournage ?

Plusieurs souvenirs…déjà de la fierté car j’ai réussi à affronter certaines choses que je n’aurais jamais cru pouvoir faire. C’est vrai que c’est une émission où on se surpasse à chaque épreuve. Je suis très heureuse d’avoir pu participer à ce programme emblématique. J’ai fait aussi de très belles rencontres, avec toute mon équipe et avec toute l’équipe du fort, ce sont vraiment des personnes adorables, qui ont vraiment pris soin de nous, qui ont pris le temps de nous accompagner donc merci à toutes ces personnes.

Avec le recul, selon vous, quelles sont les principales caractéristiques nécessaires pour être une bonne candidate sur « Fort Boyard » ?

Je pense qu’il n’y a pas vraiment de caractéristique principale, c’est vrai qu’il faut avoir juste l’envie de se dépasser et être motivé. Ce sont vraiment les deux choses principales à avoir. Si on les a, je crois que l’on peut faire de belles choses sur le fort.

Si l’occasion se présente à nouveau, on vous imagine prête à repartir sur le fort ?

J’ai adoré cette première émission donc, si j’ai l’occasion d’en refaire, ce serait avec grand plaisir, oui !

Ce fut un plaisir, April, d’échanger avec vous !

Publié dans Télévision

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Ici tout commence : Sidney Cadot-Sambosi évoque Louane, son personnage dans la série à succès de TF1 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Sidney,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

On peut vous retrouver depuis novembre dernier dans la série quotidienne à succès de TF1 « Ici tout commence », où vous y interprétez le rôle de Louane Rivière. On imagine sans doute le plaisir et la joie que ce doit être de faire partie de cette belle et grande famille artistique ?

Oui, oui, tout à fait ! C’est un vrai plaisir, dans un décor naturel, de faire toutes ces belles rencontres, de pouvoir travailler avec différentes équipes, techniques, artistiques. C’est très vivant, il y a beaucoup d’échanges, il y a beaucoup de transmission de connaissances, il y a beaucoup de bienveillance, c’est vraiment chouette. 

Cela ne gâche rien au plaisir, le cadre de tournage est plutôt très agréable….

Ah oui, c’est vraiment très agréable. On a l’impression d’un lieu de vacancesJ. On travaille dans des conditions très privilégiées, entourés de ce grand parc, du potager, où tout est naturel, où tout est fait dans le respect des lieux, des animaux aussi, des insectes. Pour l’anecdote, il y a même un petit hôtel à insectes. C’est chouette de faire vivre autrement ce monument classé, je pense que ce lieu a bien vécu, c’est cool de le réinvestir. 

Avec vos propres mots, comment présenteriez-vous votre personnage ? Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Louane est une jeune fille, pas tout à fait femme qui a certaines valeurs et qui n’admet pas que l’on dépasse certaines limites. Je pense notamment à sa relation avec Teyssier, le directeur. Elle est à cheval. C’est un peu une rebelle, c’est un peu une « gilet jaune » dans l’école, elle a des principes, elle est un peu têtue. Et puis, elle est jeune, c’est une tête brulée. Elle représente la jeunesse qui a des idéaux un peu forts. La jeunesse qui sommeille en chacun de bois en somme.

Avez-vous ou avez-vous eu des sources particulières d’inspiration pour son interprétation ?

Pas spécialement. Je puise dans ce que je peux observer du quotidien. Dans des séries actuelles sur Netflix notamment. Je m’inspire de l’air de temps mais je n’ai pas de référence particulière, je suis fidèle aux directions des réalisateurs et réalisatrices, je fais confiance aux coachs, je fais aussi confiance à mes partenaires de jeu parce que c’est à plusieurs que l’on crée le jeu et que l’on façonne un personnage, en tissant des liens particuliers avec d’autres caractères.

A ce titre, le domaine de la cuisine vous est-il familier ? Aimez-vous bien, vous–même, vous mettre derrière les fourneaux ?

Oui, j’adore ! J’adore cuisiner à plusieurs surtout et puis j’aime mangerJ. C’est un plaisir, avec de bons produits, de belles personnes, un beau cadre, c’est toujours agréable de cuisiner

D’ailleurs, regardez-vous régulièrement les épisodes en access prime time pour voir le rendu final et ainsi capitaliser sur les points forts tout en notant des choses à améliorer ?

Oui, c’est nécessaire de se regarder, de regarder les autres aussi parce que c’est en appréciant le jeu des autres que l’on apprend aussi beaucoup sur le sien. Dans tous les cas, il faut voir le rendu, il faut avoir un œil sur ce que l’on fait pour toujours s’améliorer. J’ai tendance à plus regarder ce qui ne va pas que ce qui va, pour me concentrer sur l’amélioration du jeu, de l’écoute, de l’ancrage et voir aussi mes besoins. Je vois à l’écran quand j’étais fatiguée ou quand j’étais mal disposée, pour plein de raisons différentes. On le voit et on fait en sorte de trouver des solutions, de s’améliorer, de toujours trouver des objectifs pour être meilleur. 

Quel regard portez-vous sur tout ce qu’a vécu votre personnage, personnellement et professionnellement, pendant cette première année à l’institut Auguste Armand ?

Je pense que c’est une année scolaire comme une autre, les élèves évoluent tous. Louane a évolué en renforçant sa personnalité, en assumant ses décisions et choix, en ne faisant pas trop de concessions. Je pense que c’est une vraie rebelle, c’est soit blanc soit noir. Je pense qu’elle a appris aussi des bases en cuisine, même si elle a beaucoup échoué. Je pense aussi aux liens qu’elle a tissés avec les autres personnages, Elodie, Noémie surtout et avec sa sœur. Elle va faire ses armes, elle va voler de ses propres ailes et puis, qui sait, elle reviendra peut-être travailler à l’institut, forte d’une étoile, ou de deux, voire de trois. 

Quels principaux retours avez-vous pu avoir des nombreux et fidèles téléspectateurs du programme ?

Globalement, ce qui ressort, c’est qu’il y a beaucoup de personnes qui n’aiment pas trop le personnage de Louane. Sans doute parce que sa personnalité est assez entière. C’est du gros sel, soit on n’aime pas, soit on aime bien. Donc certains téléspectateurs sont irrités par le personnage mais il y en a d’autres qui l’aiment beaucoup, qui trouvent justement qu’elle s’affirme et que c’est bien d’avoir des forts caractères à l’écran. 

Sur la série, les retours sont très bons, l’audience apprécie, ils se prennent beaucoup au jeu. On apprécie les bons comme les « méchants » personnages parce qu’il faut plusieurs couleurs pour nourrir une intrigue et faire en sorte qu’elle soit intéressante, captivante. 

On le sait, le rythme de tournage sur une quotidienne est particulièrement intense. On peut penser que, au fur et à mesure de vos journées sur le plateau, vous appréhendez cela de mieux en mieux ?

Au fur et à mesure, on apprend à travailler vite et bien. C’est une bonne chose. On s’adapte rapidement. Cela nous apprend à être vifs et précis en réalité. 

Sans dévoiler de grand secret, cet été sera-t-il placé sous le signe notamment de la « street food » pour Louane ?

Ah, ça c’est un secretJ. Je ne sais pas si on peut parler de « street food » car on est quand même dans le milieu de la gastronomie. Je parlerais plutôt de restauration au format « cantine » mais haut de gamme. Et puis, c’est l’été, donc il faut faire des plats de saison, frais, que l’on peut manger dehors.

Par la suite, aimeriez-vous pouvoir défendre certains thèmes ou sujets plus particulièrement ?

Oui, par exemple, la justice sociale, l’éducation populaire ou l’écologie sous l’angle du rapport entre les différents ordres du vivant (animal, végétal, etc). On parle moins dans la série de certains végétaux ou de certains insectes…voilà, des choses comme cela…mais ça va arriver. 

En parallèle, quels sont vos autres projets et envies artistiques ?

Là, je travaille sur différents projets au théâtre et au cinéma mais je ne peux pas en dire davantage. 

Pour conclure, que peut-on vous souhaiter pour la suite de cette belle aventure qu’est « ITC » ?

D’améliorer mon jeu, de défendre des enjeux un peu plus variés, de performer dans des facettes du personnage dans lesquelles on ne me projetterait pas forcément au premier abord.

Merci, Sidney, pour toutes vos réponses 

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France Télévisions : Eglantine Emeye évoque la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques qu'elle anime !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Eglantine,

Quel plaisir d’effectuer cette nouvelle interview avec vous !

Vous animerez, le 23 juillet prochain, la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques sur France Télévisions, aux côtés d’Alexandre Boyon et Thierry Marx. A titre personnel, on imagine le plaisir et la joie que ce doit d’être d’animer un tel événement ?

Ça, c’est sûr ! J’étais très très contente que l’on me propose cela parce que c’est toujours une opportunité formidable. Je ne pense pas que l’on puisse avoir souvent l’occasion dans une vie, à moins d’être journaliste sportif, de se retrouver sur le village olympique, en direct, en prise avec les Jeux. C’est, en plus, au Japon. Après, c’est vrai que les conditions sont très particulières cette année, il y a un petit côté décevant où on sait que l’on ne va pas vivre l’aventure de la même manière. Mais les cérémonies d’ouverture, d’expérience, sont toujours absolument somptueuses et il n’y a pas de raison que ça change, au contraire.

Comment seront répartis les « rôles » dans votre trio ? Quelle sera plus précisément votre place ?

Disons que je suis plus la « Madame Loyale » de service, c’est moi qui vais normalement distribuer la parole entre Thierry Marx et Alexandre Boyon. Alexandre est LE journaliste sportif, c’est une encyclopédie du sport et Thierry est un personnage passionné du Japon, ancien grand sportif de judo et toujours grand sportif tout court, qui a mille anecdotes à raconter sur les japonais, leur relation au sport, leur culture, donc c’est toujours un plaisir de l’entendre. Ma difficulté, mon vrai rôle, seront d’équilibrer les choses entre temps de parole, temps de plaisir de regarder le magnifique spectacle qui se déroulera devant nos yeux et temps pour laisser chacun apporter sa contribution.

Cette année, on le sait, le public ne sera pas autorisé à venir soutenir les athlètes. En quoi cela va-t-il, selon vous, influencer votre approche et votre commentaire ?

Mon approche ne change pas, ça restera de toute façon un regard à apporter sur ce qui se déroule devant nos yeux et des informations à apporter aux téléspectateurs qui sont loin et avec qui on doit partager ce moment très fort. Le fait qu’il n’y ait pas de spectateur donnera, sur place, une dimension un peu moins frénétique, l’énergie qui va se dégager de tout cela va être évidemment très très différente et c’est à nous, journalistes, animateurs, de faire en sorte que ça ne se ressente pas trop. C’est-à-dire que l’énergie, on va tenter de l’apporter nous, dans une moindre mesure évidemment. Je crois que la vraie difficulté ne va pas être pour tous les téléspectateurs, elle va être pour les sportifs qui n’auront pas la même émulation. En même temps, depuis un an et demi, ils ont l’habitude de faire leurs compétitions sans public. Mais pour un évènement comme les JO, c’est vrai qu’il y a une grosse pointe de déception et d’inquiétude pour certaines personnes qui aiment être transcendées par la présence du public.

Justement, comment vous préparez-vous à cet événement ?

Je me nourris d’informations sur les JO, je me suis replongée dans les cérémonies des deux précédentes éditions pour me remettre un peu dans l’ambiance, voir comment ça se passait. Je remets à jour ma culture sur la flamme olympique et sur les JO en général. Voilà, je me nourris au quotidien de tout ce qui se dit et se fait sur les JO. Ensuite, sur place, je vais avoir trois jours de confinement en arrivant puis il y aura une journée de grande répétition, durant laquelle je vais pouvoir assister à tout. Des informations nous seront remises, chaque pays nous donnera des informations sur ce qui se déroulera. Ce sera alors une sorte de marathon d’ingurgitation d’informations. Après, place à la spontanéité, notre rôle à tous les trois est, justement, d’avoir la tête pleine d’informations et, ensuite, de savoir les donner à bon escient, au bon moment, quand on le sent.

Etes-vous d’ailleurs vous-même une suiveuse assidue des compétitions sportives pendant les JO ?

Jamais totalement assidue parce que c’est toujours pendant les vacances d’été et que j’ai alors toujours plein de choses à faire au mauvais moment. Mais oui, il y a des compétitions que j’aime particulièrement. Globalement, j’ai toujours beaucoup aimé le sport et je fais, moi-même, beaucoup de sport. Les compétitions sportives restent des moments que j’adore. Voyez, le foot n’est vraiment pas mon truc mais je regarde les grandes compétitions, j’y assiste et j’aime me mêler à ces moments et à cette effervescence nationale. J’ai un côté assez chauvin où je suis la première supportrice de n’importe quel sportif quand il y va pour la France.

Merci, Eglantine, pour toutes vos réponses !

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Enduro, Dakar, Fort Boyard : Audrey Rossat évoque son parcours de championne moto, son palmarès et sa participation à la célèbre émission de France 2 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Audrey,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous êtes un visage connu des passionnés d’enduro, avec un palmarès national et international très élogieux. D’où vous vient cette passion ?

En fait, cette passion me vient de mon père qui, lui, pratiquait la moto de route, sur circuit. Il a eu l’occasion d’avoir une petite moto de cross quand j’avais à peine 5 ans. Je suis montée dessus, ça m’a tout de suite plu et j’ai été repérée par un moto-club de la région parisienne à cette époque-là…ça a commencé comme cela en fait, tout simplement.

On imagine que la pratique à haut niveau de votre discipline implique une rigueur d’entrainement assez poussée. Tant sportive que mécanique ou de navigation. Quelle est votre fréquence d’entrainement ?

Disons que c’est un entrainement régulier, que c’est une hygiène de vie de tous les jours. Ensuite, l’entrainement va varier selon la période de course, si j’enchaîne plusieurs courses d’affilée ou si c’est une période plus ou moins creuse. Quand j’ai fait la grosse préparation pour le Dakar, j’étais entre 3 à 4 heures par jour. Donc, en fait, j’adapte en fonction du calendrier, je ne fais jamais la même chose, ni au même rythme. Mais ce qui est sûr, c’est que j’ai toujours une activité physique régulière.

 

 

Vous avez participé, en début d’année, au Dakar et vous êtes d’ailleurs la seule française à avoir franchi la ligne d’arrivée. C’est un exploit d’autant plus marquant que vous avez fait la moitié de la course avec une côte cassée…

Oui, tout à fait. Il n’y avait pas eu de française depuis 15 ans sur cette épreuve donc l’enjeu était important. Finir était déjà une grande victoire, surtout que j’ai très peu d’expérience en rallye, je n’avais fait que celui du Maroc, un an avant. Mais c’était l’équivalent, en termes de kilomètres, de même pas deux jours sur le Dakar. Derrière, le Dakar, c’est quand même 12 étapes avec 7 800 kilomètres au total. C’était un sacré grand écart qui a été bien négocié, je suis plutôt contente, oui, avec, en plus, une belle performance à l’arrivée puisque je finis quand même 3è féminine, derrière deux habituées du rallye et, surtout, avec une belle 59è place au général. C’est une belle performanceJ.

Justement, selon vous, qu’est-ce qui a été le plus compliqué à appréhender sur ce Dakar ?

Clairement, c’est la navigation. Sur l’enduro, on suit des petits fanions qui sont accrochés à droite, à gauche, on ne se casse pas la tête. Sur le Dakar, la navigation est la moitié, voire plus, de la course parce qu’il ne faut pas se tromper ni se perdre. Dès que l’on se perd, on perd du temps. Si on se perd de trop, on peut avoir des problèmes d’autonomie au niveau de l’essence. C’est une grosse grosse pression. La navigation n’est pas évidente à travailler, pour le faire, il faut partir à l’étranger ou organiser des stages, ce qui est vite un petit peu couteux.

 

 

Jusqu’à présent, quels resteront, en complément, les autres moments les plus forts que vous ayez pu connaitre ?

Il y en a beaucoup, notamment les titres de championnes du monde par équipe. Quand on finit six jours de course en équipe, quand on entend la Marseillaise à l’arrivée, c’est top. Aussi mon titre de championne d’Europe que j’ai eu une course avant la fin, c’était assez énorme, j’avais tout remporté avant et pas facilement, comme on pourrait le croire. J’avais bataillé à chaque course mais je les avais remportées. C’était en 2014 et c’était génial.

J’ai de très bons souvenirs aussi sur le Trophée Andros, quand j’ai fait la finale au Stade de France. D’une manière générale, à chaque fois que j’entends la Marseillaise sur le podium, c’est toujours un moment unique, oui.

Quels sont vos prochains objectifs ?

Pour 2021, mon objectif est d’essayer déjà de maintenir ma place au championnat d’Europe. Là, je suis actuellement troisième exæquo avec une pilote anglaise. Puis entamer, j’ai déjà commencé, une grosse préparation pour le Dakar 2022 puisque je repars. Un beau programme en perspective, assez chargé.

 

 

En parallèle, on pourra vous retrouver cet été dans la mythique émission de France 2 « Fort Boyard ». Justement, on imagine le plaisir et la joie que ce doit être de participer à ce programme ?

Oui, c’est une émission que tout le monde connait, que moi-même j’ai regardé quand j’étais plus jeune. Mes neveux et nièces la regardent encore actuellement. Voilà, c’est mythique. Le fort, ça fait très longtemps que j’avais envie de le voir d’un peu plus près, là, je ne pouvais pas faire plus près que ça J. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai sauté partout, j’étais vraiment heureuse. En plus, j’ai eu la chance d’avoir une super équipe, c’est top.

Quels souvenirs en aviez-vous ?

Tout simplement les animaux qui sont sur place. J’ai toujours aimé les animaux et ils sont quand même assez impressionnants sur le fort. De la manière dont c’est filmé, il y a toujours un petit peu d’angoisse, de suspense, j’avais hâte de voir ça et, vraiment, ça fait partie intégrante de l’émission, ils sont partout. D’ailleurs, on a une petite formation le matin sur comment manipuler certains insectes, c’est quelque chose !

 

 

Avez-vous justement certaines peurs, qui vous font craindre plus particulièrement certaines épreuves ?

Oui, je n’en avais qu’une seule, les araignées ! C’était compliqué pour moi. Après, je n’avais aucun soucis avec tout ce qui est sensations fortes. Notamment le vide. Mais les insectes et particulièrement les araignées me posent un peu problème.

A l’inverse, du coup, en attendez-vous d’autres avec une certaine impatience ?

C’est sûr ! Il y en avait certaines que j’avais vraiment envie de faire. Principalement celles à sensations fortes, comme la catapulte ou le saut à l’élastique, ou encore la cloche. N’importe laquelle de ce genre-là…je ne dirai pas laquelle mais j’en ai eu une et j’ai été vraiment ravie, ça va me laisser de sacrés souvenirs.

Après, c’est la production qui a décidé. Jusqu’au jour J, on ne savait même pas ce que l’on allait faire dans la journée, on le savait au fur et à mesure. Toute la journée de tournage était une surprise.

 

 

Le fait d’être entourée notamment de grands champions aide sans doute à appréhender l’aventure ?

C’était une équipe vraiment sympa, dans le sens où ils m’ont tout de suite mise à l’aise, ils se sont aussi intéressés à moi et mon parcours. Je n’ai pas leur envergure médiatique, ils ont vraiment été adorables, très intéressés par mon parcours sportif. On a même échangé, que ce soit avec Sébastien Chabal ou Laure Boulleau, sur les antécédents de blessure ou de carrière, c’était très très intéressant.

Un mot sur l’association « OrphéoPolis » que vous défendez ? On peut penser que c’est une source supplémentaire de motivation pour vous et toute l’équipe ?

Oui, surtout une association qui est propre à mon métier, la Police Nationale. C’était vraiment sympa. Là, j’étais vraiment fière d’être sélectionnée, depuis le temps que j’entends parler de cette association, pour œuvrer et donner le maximum.

Sans dévoiler de grand secret, quel reste votre meilleur souvenir de votre premier passage sur le fort?

Ce n’est pas évident…Déjà, il y a aussi la veille, une journée de cohésion avec l’équipe. C’était sympa. Nous étions logés dans un hôtel restaurant, on a eu un super moment, en toute simplicité, entre membres de l’équipe, dans un super cadre. La vue sur la mer était complètement magique et profiter du coucher de soleil en buvant un petit verre en terrasse avec autant de célébrités est déjà un sacré souvenir. Ensuite, le moment qui m’a quand même bien marquée est l’arrivée sur le fort, au moment où l’on passe la porte. En plus, j’étais juste derrière Sébastien Chabal, qui est déjà assez grand…C’était magique. Quand on est rentrés à l’intérieur, c’est un moment qui va me rester. Comme un gamin, on regarde partout, on regarde tout ce qui se passe, comment c’est fait, c’était vraiment un super moment. Enfin, pendant les épreuves, sans dire ce que j’ai gagné ou pas gagné, il y a eu quand même des moments de réussite et ça reste un super bon souvenir. Parce que l’on a toujours un peu la pression de se louper et de ne pas ramener la fameuse clé.

 

 

Avec le recul, selon vous, quelles sont les principales caractéristiques nécessaires pour être une bonne candidate sur « Fort Boyard » ?

Je pense qu’il faut déjà oublier la caméra. Quand on est sur le fort, pendant les épreuves, dès fois on traine par terre, on doit se rouler, on se fait des bleus, on est trempés quand on va dans l’eau, l’eau de mer nous pique les yeux, on ne ressemble plus à rien donc il faut oublier tout ça, la caméra et le cadre. Il faut se donner à fond comme sur les épreuves sportives, regarder devant et puis il faut aussi savoir se poser quelques instants mais pas trop, car le sablier défile, pour réfléchir afin d’avoir la meilleure stratégie. Même si, en règle générale, il ne faut pas trop se poser de question, il faut y aller franchement et vraiment se donner à fond, en oubliant ce qu’il y a autour.

Si l’occasion se présente à nouveau, on vous imagine prête à repartir sur le fort ?

Oh oui, avec grand plaisir ! Ah oui, oui, c’était génial, une superbe expérience. S’il faut y retourner, j’y vais. S’il faut aller faire « Koh Lanta » aussi, pourquoi pas.

Merci, Audrey, pour toutes vos réponses !

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Fort Boyard : Léa François évoque sa nouvelle venue et en profite pour aborder ses autres actualités artistiques !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Léa,

Quel plaisir d’effectuer cette nouvelle interview avec vous !

Samedi 24 juillet prochain, vous serez de retour sur le fort pour une nouvelle participation. A titre personnel, on imagine sans doute le plaisir et la joie pour vous de repartir à l’assaut de ce lieu mythique ?

Mais ouiii, j’étais trop contente…Enfin, d’un côté, j’étais trop contente et, de l’autre, j’étais trop stressée. J’ai quand même réfléchi cinq minutes avant de dire oui. Ca faisait plusieurs fois qu’on me le proposait, que je ne pouvais pas le faire parce que je bossais ou parce que j’étais enceinte. Là, j’étais libre comme l’air le jour du tournage donc je me suis dit « allez, je me relance ». Mais j’avoue que j’étais quand même stressée.

D’ailleurs, que représente, pour vous, ce programme ? Le regardiez-vous déjà plus jeune, en famille, le samedi soir ?

Evidemment ! Je regardais tous les samedis soirs, j’attendais ça avec impatience. Je me rappelle qu’avec mon frère, on a regardé ça pendant des années. Après, on faisait « Fort Boyard » dans le salon tout le reste de la soirée. Donc, oui, oui, c’est vraiment une émission qui a marqué mon enfance, clairement.

Quels principaux souvenirs gardez-vous de votre précédente participation ?

Après coup, je me rappelle que c’était quand même une journée de fou, que, vraiment, j’avais vécu ça comme un rêve de voir tout l’envers du décor, de pouvoir y prendre part et de participer à l’aventure, c’était fou. C'est très paradoxal, de l’autre côté, j’avais eu des épreuves qui m’avaient terrorisée, j’avais dépassée plein de peurs que j’avais. Mais bon, c’était plutôt chouette. Je n’avais, par exemple, jamais été me baigner dans la mer où je n’avais pas pied, avant ma première participation à « Fort Boyard » et d’être jetée d’une passerelle de huit mètres de haut dans la mer. C’est fou…Depuis, je suis retournée me baigner plein de fois dans la mer. Donc je pense que le fait de me dire que j’ai pu le faire et que, finalement, je n’étais pas morteJ m’a fait sauter quelques peurs. Ça m’a quand même encouragée à vaincre des peurs. Depuis, je suis allée dans des pays de fou, j’ai pu nager avec les requins notamment, chose que je n’avais jamais faite avant d’aller sur le fort. 

 

 

Justement, le fait d’être déjà venu est-il, selon vous, un atout dans le sens où vous savez à quoi vous attendre, indépendamment des nouvelles épreuves ? Ou, à l’inverse, cela augmente-t-il l’appréhension car, justement, vous savez ce qui peut se passer ?

La deuxième option ! Déjà, on sait que l’on ne va pas retomber sur des épreuves que l’on a déjà faites donc c’est un nouveau menu qui nous attend. C’est très stressant ! C’est impressionnant sur place comment la machine roule et comment le tournage est fluide. En fait, on vit vraiment les épreuves comme elles sont filmées, c’est super bien fait, il n’y a pas de temps mort donc c’est quand même une journée de tournage très riche en émotions. Le soir, on est complètement vanné mais on a vécu des trucs de fou, condensés sur une journée.

Du coup, est-ce que certains néophytes vous ont demandé quelques conseils avant l’aventure ?

Oui, oui, c’est sûr que j’ai partagé mon expérience de ma première participation. Après, paradoxalement, il y en avait qui ne l’avaient jamais fait et qui me rassuraient quand même parce qu’ils avaient moins peur que moi sur certaines choses. Donc c’était assez drôle. Mais oui, franchement, on a été une équipe hyper soudée, on a tous essayé de se rassurer les uns les autres. Même si c’est une émission où on a beaucoup beaucoup beaucoup rigolé, on avait, comme on disait, un rire bienveillant. On avait le droit de se moquer des autres mais avec bienveillance. Donc c’était quand même très chouette, j’ai adoré mon équipe, il y avait une super ambiance.

Avez-vous justement certaines peurs, qui vous font craindre plus particulièrement certaines épreuves ?

Oui, clairement ! J’ai peur des insectes, j’ai peur du vide, j’ai peur de l’eau donc je ne sais pas trop ce que je vais faire là-bas à la baseJ. Le vide était ce qui me faisait le plus peur cette année et je me suis quand même retrouvée suspendue à une cloche à 12 mètres environ au-dessus des tigres, à me balancer. Clairement, je ne sais pas si j’ai hâte de voir les images parce que je ne tiens pas debout, j’ai les jambes qui tremblent, je suis à moitié en train de pleurer, c’est un massacre. L’épreuve s’appelle « La cloche » mais on va vraiment se demander qui est la cloche, vous allez vite le remarquerJ.

A l’inverse, en attendez-vous d’autres avec une certaine impatience ?

Chaque épreuve que je fais à « Fort Boyard » me fait forcément dépasser une crainte parce que, comme je le disais, il y a toujours au moins un peu d’insectes, un peu d’eau, un peu de vide ou un peu de stress d’être prisonnier. C’est une pression quand même, on se dit que l’on ne va pas là-bas pour passer toute l’émission en prison. Donc j’y mettais un fort enjeu. Oui, clairement, toutes les épreuves étaient un énorme challenge à relever et j’ai pris tout énormément à cœur. Il n’y avait pas forcément une épreuve que je rêvais de faire en particulier parce que, comme je vous le dis, tout me fait un peu flipper. Ce que j’attends vraiment à fond, c’est de savoir si les boyards vont tomber. C’est aussi un stress.

Un mot sur l’association « P-WAC » que vous défendez ? On peut penser que c’est une source supplémentaire de motivation pour vous et toute l’équipe ?

Oui, oui, complètement ! On a envie de se dépasser et, même si on a peur, on ne peut pas se dire que l’on ne le fait pas, on pense alors à l’association. « P-WAC », en plus, est une asso qui n’est pas forcément très connue. Quand ils ont des gros événements comme ça, telle une équipe qui fait « Fort Boyard » pour eux, c’est énorme. Ça représente, pour certains, le travail de toute une vie de monter leur asso, de la faire marcher donc c’est un enjeu de fou pour eux et c’est vrai que l’on a envie de ne pas les décevoir.

Sans dévoiler de grand secret, quel reste votre meilleur souvenir de votre nouveau passage ?

Franchement, mon meilleur souvenir est vraiment mon équipe, ce sont vraiment les rigolades que l’on a eues. Je ne peux pas vous dire une épreuve parce que ce sont quand même des supers souvenirs mais après, une fois qu’elle est passée. Réussite ou pas, j’étais contente de m’être lancée. Non, le meilleur souvenir est vraiment tout ce que l’on a ri. J’ai hâte de voir les images, je pense que l’émission a moyen d’être marrante. Entre Julien Arruti, Monsieur Poulpe, Maurice Barthélémy, Stéphane Hénon, franchement ils n’ont fait que raconter des bêtises pendant toute l’émission. J’étais vraiment morte de rire tout le temps. Quelque part, ça détend un peu face au stress des épreuves. 

 

 

Avec le recul, selon vous, quelles sont les principales caractéristiques nécessaires pour être une bonne candidate sur « Fort Boyard » ?

Je pense qu’il ne faut pas trop réfléchir, je pense qu’il faut foncer. Si on commence à se prendre la tête, on est stressé, on n’ose pas, on perd ses moyens. Donc il faut penser à l’asso, il faut foncer.

Si l’occasion se présente à nouveau, on vous imagine prête à repartir sur le fort ?

Franchement, oui ! Je pense que, la première fois, j’étais tellement stressée avant d’y aller, finalement j’étais quand même ressortie super contente. Là, la deuxième fois, j’ai vraiment hésité avant de le faire parce que je savais ce que ça allait être, comme je vous le disais. J’étais super stressée et, finalement, en ressortant, j’avais encore passé un super moment. Je me dis que la troisième fois, je stresserai encore mais qu’il faut que je le fasse quand même car ce sont des souvenirs inoubliables.

En parallèle, vous continuez notamment les tournages de « Plus Belle La Vie » sur France 3. Peut-on s’attendre à des rebondissements prochainement pour votre personnage, Barbara ?

Oui, on peut s’attendre à certains gros changements et gros rebondissements dans la vie de mon personnage. C’est ce que l’on va tourner tout l’été et c’est l’intrigue qui sera diffusée à la rentrée. Oui, oui, je suis un peu en hallucination de tout ce qu’ils écrivent, je lis semaine après semaine et, encore, je n’ai pas le dénouement de tout cela mais ça va être une histoire à sensations fortes, au vrai sens du terme. Ça va entrainer un gros bouleversement dans la vie de ma petite Barbara.

Vous serez aussi de retour sur les planches dans quelques mois…

Oui, je serai en tournée de janvier à juin prochains, dans toute la France, avec « Cache-moi si tu peux », aux côtés de Norbert Tarayre et Jane Resmond.

Merci, Léa, pour toutes vos réponses !

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Ici tout commence : Elise Tielrooy évoque Sylvie, son personnage dans la série à succès de TF1 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Elise,

Quel plaisir d’effectuer cette nouvelle interview avec vous !

Vous avez rejoint, il y a quelques semaines maintenant, le casting de la série « Ici tout commence » sur TF1. A titre personnel, on imagine le plaisir et la joie que ce doit être de faire partie de cette belle et grande famille artistique ?

Absolument ! C’était très agréable de retrouver ces jeunes comédiens dont on m’avait donné comme un apéritif. Là, on a vraiment pu se côtoyer pendant presque trois semaines, tous les jours, c’est très agréable de pouvoir se dire « à demain », au lieu de repartir en train vers Paris. Ça a confirmé mes impressions du début, que cette équipe est assez impressionnante et formidable.

En plus de l’équipe, c’est vrai que le cadre de tournage est quand même particulièrement agréable pour tout le monde…

C’est sûr ! J’ai découvert la Camargue, que je ne connaissais pas et je dois dire que c’est magnifique ! Une faune et une flore surprenantes, très riches…. Une architecture préservée. Je suis contente de ne pas tourner en été car il commençait à faire très chaud quand j’ai terminé. Même si c’est plus agréable d’avoir chaud là-bas qu’à Paris.

On vous avait déjà vue à l’image plusieurs semaines avant cette deuxième salve de tournage, où vous y interprétez Sylvie, la maman de Salomé. Justement, avec vos propres mots, comment présenteriez-vous votre personnage ? Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Sylvie est une personne qui est en permanence écartelée, elle a peur, elle a fait des choses contre son gré et elle vit avec ça sur la conscience. Elle se sent coupable, en tout cas elle préfère l’oublier parce que ça serait trop difficile. Elle a quand même abandonné une fille et a laissé une autre dehors. Elle est seule, alors qu’elle a deux enfants. C’est, je pense, une grande souffrance pour n’importe quelle mère. C’est une situation que je ne souhaite à personne et qui n’est pas facile. D’ailleurs, je trouvais ça très joli, dans la série, ces filles qui se battent pour retrouver leur ascendance. Ca soulève le sujet hautement sensible de l’accouchement sous X, qui est particulier à la France. Je trouvais ça très joli que, par le biais de Kelly, Salomé arrive à retrouver sa mère biologique, c’est-à-dire moi.

Au moment de l’interpréter, avez-vous ou avez-vous eu des sources particulières d’inspiration ?

Je pense beaucoup à mes enfants quand je tourne, je me sers de ça pour nourrir ce personnage qui est loin de moi en fait. Si on regarde bien, à la fois je comprends Sylvie parce que sinon, on ne peut pas interpréter un personnage que l’on ne comprend pas du tout et, en même temps, il faut aller chercher loin la fragilité qu’elle peut avoir, ainsi que le manque de confiance et les angoisses. Moi, Elise, je la trouve beaucoup beaucoup grâce à ce que je ressens pour mes enfants.

Votre personnage intervient, pour le moment, ponctuellement sur le programme. Pour mieux appréhender encore les tournages, vous arrive-t-il de vous replonger dans la diffusion juste avant ?

J’ai lu les épisodes donc je sais ce qui se passe. Je sais comment je réapparais dans la série. C’est très étonnant : quand on est sur le plateau et quand on est en train de tourner, on est totalement dedans et, quand on ressort, il est vrai que c’est très plaisant de retrouver, par la diffusion, l’ambiance et les visages familiers. Alors que c’est comme si on avait été éjectés en quittant le plateau. C’est très étrange, c’est tellement intense quand on y est, que quand on n’y est plus, c’est bien de regarder de temps en temps pour voir où ça en est. C’est fascinant de voir ce très léger décalage de six semaines entre le tournage et la diffusion.

C’est comme s’il y avait quelque chose qui continue quand on n’est pas là, on a plaisir à voir que ça continue et, en même temps, ça manque. Donc c’est ambivalent.

On le sait, le rythme de tournage sur une quotidienne est intense. C’est un exercice différent pour vous, comparativement à vos nombreuses précédentes expériences télévisuelles. Comment avez-vous, du coup, appréhendé cette organisation ?

Il fallait y allerJ. C’est vrai que c’était totalement différent. En réalité, j’ai beaucoup appris. Bon, d’abord, on ne s’ennuie pas, c’est sûr que l’on n’a pas le temps du tout. C’est vrai que c’est un rythme qui n’a rien à voir. Mon agent m’avait prévenue, il m’avait dit « tu verras, c’est différent ». On a beau être prévenue, tant que l’on n’a pas expérimenté la chose, on ne peut pas savoir. Après, la qualité de l’équipe autours et la qualité de mes partenaires ont fait que c’était tout-à-fait jouissif néanmoins et que le rythme a été intégré. C’est vrai que, le soir, en rentrant, on est bien fatigués. Ce qui était compliqué, c’était le texte parce que l’on ne peut pas apprendre toute la semaine pendant le week-end, c’est trop compliqué. Donc il y a un moment où l’on court un peu après le texte pendant la semaine, si on est de toutes les journées. Mais bon, c’est une discipline à acquérir et je suis très admirative de tous les récurrents. J’insiste, c’est une vraie discipline, on ne peut pas faire la fête le soir, ce n’est pas possible, contrairement à d’autres tournages. Après, je remercie l’équipe, qui était fantastique. Le fait de pouvoir rire sur le plateau, d’avoir des moments où, tout à coup, on déconne, c’est ça qui nourrit aussi l’envie d’être là, l’envie de tourner, c’est un ensemble. Mes partenaires étaient fantastiques.

Vous ressortez d’une session intense et intensive de tournage, vous l’avez dit. Ce qui signifie donc que l’on pourra vous retrouver à l’antenne un peu plus régulièrement à partir de la deuxième quinzaine de juillet ?

C’est ça, vous allez me revoir beaucoup pendant l’été. On a dû tourner une quinzaine d’épisodes, vingt peut-être, où notre histoire de famille est très très présente. Elle est haletante, elle est pleine de suspense.

A titre plus personnel, on peut penser que vous êtes impatiente de voir, à l’image, le rendu final de toutes ces journées de travail ?

Oui, totalement, surtout que l’on tourne dans le désordre et que les progressions que l’on doit trouver dans le jeu sont tellement subtiles. J’ai hâte de voir tout monter dans l’ordre pour voir si ce que l’on a fait est correct. Après, on sait ce que l’on a tourné mais on ne sait pas ce qui sera monté. Tout cela est une surprise. C’est toujours intéressant. Après, c’est toujours compliqué de se voir à l’écran et de s’entendre. Bien sûr que je vais regarder, j’ai hâte et j’appréhende en même temps.

En parallèle, quels sont vos autres projets artistiques en ce moment ?

Je suis en train de terminer un roman noir, policier, qui n’a rien à voir avec les deux précédents. Je vais aussi, maintenant que j’ai terminé de tourner, commencer à chercher un éditeur. Il y aura aussi une soirée de fin, deux supers épisodes surprenants, pour la série « Section de recherches ». Sans oublier, d’ici là, les vacances en famille. Ca nourrit l’artistique aussi car, souvent, j’écris.

Merci, Elise, pour toutes vos réponses !

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Julie Mamou-Mani nous présente son actualité littéraire et ses projets artistiques !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Julie,

Quelle joie d’effectuer cette interview avec vous !

On se retrouve, ici, au Festival « Des livres, des stars ». A titre plus personnel, on imagine sans doute le plaisir et la joie que ce doit être pour vous de pouvoir échanger à nouveau de vive voix avec le public ?

C’est exceptionnel, en effet, après un an et demi de confinement. En plus, tout mon livre est né et a pris cette ampleur grâce au confinement. Quand le Festival m’a demandé de participer, je me suis dit « quel rêve ». En plus, j’ai rencontré Lorie, avec qui j’ai fait une super table ronde. On s’est très très bien entendues. C’est une super ambiance, ici, je trouve.

Comment décririez-vous votre livre ?

C’est vraiment un ouvrage étonnant. Il y a du témoignage personnel, un peu comme sur mon Insta, avec ces phrases choc mais qui, finalement, touchent un peu tout le monde, on a tous des problèmes avec nos cheveux qui deviennent blancs, notre poids, les enfants qui ne voulent pas bosser pendant que nous devons bosser. C’est un peu comme des éditos de magazine. Ensuite, je me suis dit que je ne suis pas une experte du rire, alors je suis allée en chercher. Il y a aussi de vraies infos mais également, évidement, des blagues que l’on retrouvait sur mon Insta, en tout cas une sorte de compilation des blagues qui me faisaient le plus marrer sur ma page.

 

 

Ici, ou précédemment, quels sont les principaux retours qu’ont pu vous faire vos lecteurs ?

C’est extrêmement joli, je dois l’avouer, on me dit tout le temps « merci, vous avez sauvé mon confinement ». Je me dis que c’est trop mais, en fait, j’ai compris. Pour moi, c’est tellement instinctif de rire, de sourire car ça fait du bien mais je me rends compte que j’ai permis aux gens de s’évader le temps d’un « pouffage ». Ça a fait du bien aux gens qui étaient sidérés, on s’est tous retrouvés seuls, sur notre canapé, à avoir du mal à se concentrer. Donc, c’est vrai que le média Insta est assez génial pour cela, ça fait passer le temps et, dans ces moments-là, c’était nécessaire je dirais.

En conclusion, quels sont vos autres projets à venir ?

J’ai beaucoup de projets professionnels parce que je suis productrice par ailleurs, de podcasts, de vidéos, de documentaires. J’ai un documentaire qui va sortir prochainement sur Paris Première, en lien avec les pièces iconiques des maisons de haute couture. Je fais aussi des podcasts avec un célèbre présentateur, vous verrez en septembre… Cette aventure littéraire m’a donné envie d’écrire, ça a été un accouchement difficile mais très heureux et j’ai l’impression d’avoir envie de faire des petits frères et des petites sœurs à ce livre.

Merci, Julie, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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