Boyard Land : Christophe Licata évoque sa participation à ce nouveau programme de France 2 !
Bonjour Christophe,
Merci d’avoir accepté de répondre à quelques questions pour notre site.
On pourra vous retrouver ce samedi soir dans le deuxième numéro du nouveau divertissement familial de France 2, « Boyard Land ». On imagine que cela est, pour vous, une source de joie et de fierté ?
Oh oui, complètement. En plus, c’est vrai que je connaissais l’univers de « Fort Boyard ». Ce sont des émissions toujours plaisantes à faire parce qu’on se replonge dans l’enfance. J’ai adoré participer à ce programme, clairement.
L’univers de la fête foraine vous était-il familier ? Le connaissiez-vous bien ?
C’est vrai que cela me rappelle mon enfance. J’habitais à La Ciotat, on avait l’habitude, l’été, de se retrouver en famille pour faire ces jeux-là. Vraiment, je me suis replongé en enfance, c’était féérique, j’ai adoré.
Selon vous, qu’est-ce qui plaira aux, on l’espère, nombreux téléspectateurs qui regarderont ce programme ?
Je pense au côté un peu magique et féérique, en période de Noel. C’est une émission qui, je crois, va faire rêver le public. En tout cas, ça m’a fait rêver d’y participer. Donc je pense que les gens vont aimer cette version très jolie.
A titre plus personnel, certaines attractions plus particulièrement vous attiraient-elles ?
Honnêtement, quand on arrive dans ce genre de jeu-là, on s’attend un petit peu à tout et on appréhende un peu toutes les épreuves. En tout cas, je suis content d’avoir été candidat, cela m’a permis d’affronter des peurs que j’avais, c’était chouette de pouvoir le faire.
Une fois que l’on est dedans, on a envie de jouer, on a envie de tout faire. En plus, on est en équipes, c’est chouette. J’étais avec des copains et on a soutenu une association qui nous tenait à cœur. C’était très agréable.
Vous évoquiez vos peurs. Quelles sont justement vos phobies ?
J’ai peur de tout ce qui est animaux et bêtes. J’ai d’ailleurs toujours aussi peur, même si, pour le bien de l’émission et de l’association, je me suis prêté au jeu. En tout cas, j’ai essayé et j’ai cherché à me dépasser.
Contrairement à « Fort Boyard » qui est connu du grand public, ce programme-ci est nouveau. Ce qui accentue sa difficulté. Vous êtes-vous préparé d’une façon particulière pour cela ?
Je n’étais pas du tout prêt en fait. Le tournage a eu lieu en pleine période de « Danse avec les stars », de nuit. Je suis simplement monté dans la voiture avec les copains et je me suis laissé diriger et guider par l’émission. C’est pour cela que je me suis éclaté à la faire, je n’avais pas d’attente, j’ai fait les épreuves les unes après les autres et j’ai adoré.
Les conditions de tournage de nuit vous ont elles influé directement ou indirectement ?
Elles accentuent l’appréhension, c’est vrai. De nuit, on est fatigués, on a froid. En même temps, ça fait partie du jeu et c’est ce qui fait la force du programme. Ça nous a soudés, la chaleur humaine a renforcé les deux équipes. C’était dur, oui, on ne va pas se mentir mais, j’insiste, c’était chouette.
Vous l’avez dit, vous jouez en équipe pour une association. Un mot justement sur celle que vous défendez ?
Nous défendions l’association « Premiers de cordée », que j’aime beaucoup. J’avais déjà fait plusieurs manifestations pour la soutenir. Elle vise à aider les enfants handicapés, les dons aident à financer notamment une journée au Stade de France. Je suis aussi ambassadeur, je m’implique beaucoup aux côtés des membres et c’était chouette de pouvoir en parler.
Par la suite, seriez-vous partant pour retenter l’aventure ?
Ah oui, tout de suite. Sans hésitation.
En conclusion, plus généralement, quels sont vos autres actualités et projets en ce moment ?
Je pars en tournée avec le spectacle « Alors, on danse ? », de Chris Marques, l’année prochaine. Nous sommes en pleine préparation. En parallèle, j’ai toujours mon école de danse dans le Sud donc je suis bien occupé. Je suis aussi papa d’un petit garçon d’un an et demi. Les journées sont quand même bien remplies.
Ce fut un plaisir, Christophe, d’échanger avec vous !