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Jessica Rock évoque son actualité et ses projets !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Jessica,

 

Merci de vous recevoir aujourdhui. Vous êtes une jeune pianiste aux multiples talents, interprète compositriceQuest-ce qui vous plaît dans votre quotidien dartiste ?

 

La liberté. La créativité, la spontanéité, la diversité, le partage… Tellement de choses ! Le fait que mon métier soit en rapport direct avec mon développement personnel. J’essaye d’être toujours en accord avec moi-même.

 

Voyez-vous des complémentarités entre vos différentes « casquettes » ?

 

Évidemment, pour moi, tout est lié. J’interprète les œuvres des autres, j’arrange également des morceaux existants, j’accompagne beaucoup de chanteurs, j’enseigne et parfois même je me retrouve comédienne ! Je suis de plus en plus amenée à chanter en tant que pianiste/choriste ou au sein de mon propre groupe. Je compose aussi beaucoup depuis toujours et c’est d’ailleurs ce qui me plaît le plus !

 

A cela s’ajoutent des activités audio-visuelles comme le montage vidéo, photo ou la création de site web, car, comme beaucoup d’artistes, je suis en totale auto-prod pour mon projet personnel.

 

Quelles sont vos sources dinspiration et les thèmes que vous aimez ?

 

Il y en a beaucoup mais je parlerais tout d’abord de surréalisme et de musique cinématographique. Deux termes qui définissent totalement mes compositions.

 

Sinon, plus concrètement, j’ai fait de nombreuses années de piano classique et, dans ce que je propose, on retrouve des influences de Chopin, Debussy… Dans la musique répétitive, j’aime bien Steve Reich. Sinon,  dans un tout autre style, j’adore les Pink Floyd, Radiohead, Zappa… Dans le jazz, je suis fan de E.S.T., Tigran Hamasyan, Brad Mehldau. J’ai oublié Cinématique Orchestra ! J’aime aussi Daniel Elfman (le compositeur des films de Tim Burton).

 

(Ces derniers temps, je me suis arrêtée sur Max Richter. Je l’ai découvert parce que je suis allée à l’Opéra et parmi les chorégraphes rencontrées, l’une a travaillé sur une musique de Max Richter, un arrangement fou des 4 saisons de Vivaldi.)

 

Toutes ces influences m’ont permise de définir mon propre style que j’ai nommé : le Jazz Fantasmagorique ! 

 

Parmi vos expériences sur scène, avez-vous été marquée par un moment en particulier ?

 

La première fois que j’ai joué avec ceux qui devinrent les musiciens de mon trio ! Il s’agit de Maurizio Congiu à la contrebasse et Thomas Doméné à la batterie, deux musiciens aussi généreux que talentueux.

 

Au sortir de notre formation au CMDL (Centre des Musiques Didier Lockwood), nous avons eu la chance de nous produire sur la scène mythique du festival Django Reinhardt à Samois-sur-Seine. Concert qui scella notre complicité musicale et eu raison de la création du « Jessica Rock Trio ».

 

 

Quelles sont vos actualités artistiques ?

 

La sortie de mon album - « À 1550 » Jessica Rock Trio - en physique et sur une multitude de plateformes digitales (lien direct ici : https://song.link/album/fr/i/1450959110 ). Nous avons travaillé trois ans sur cet album et tournons actuellement avec, mais j’ai déjà d’autres morceaux en tête et pense impatiemment au prochain album. Il y aura plus d’électro, de voix, et l’arrivée d’un nouvel instrument : le violon. Plus qu’un simple désir d’ajout instrumental, il s’agit d’une rencontre humaine et musicale avec Matteo Gallus, violoniste émérite dont la personnalité musicale me touche tout particulièrement mais aussi fin chercheur en électro-acoustique grâce à ses multiples pédales d’effet qui serviront sans aucun doute cette volonté musicale toujours plus psychédélique. // Prochaine date parisienne le 21 mars au Jazz café Montparnasse ! //

 

Il y a aussi le très beau projet de Vanina de Franco avec qui nous tournons actuellement pour la promotion de son album « Hypercardioïde ».

 

Un groupe féminin de musique groove/funk/pop. Un duo musique/vidéo est tout naturellement en train de naître.  Aussi, un trio musique/danse/slam. J’adore mélanger les arts, pour moi tout est complémentaire.

 

On a aussi fait appel à moi pour une pièce récemment. Je viens d’être contactée pour un rôle qui me colle à la peau apparemment mais je n’ai pas le droit d’en dire plus pour le moment ;-)

 

À ça s’ajoutent un tas de projets éphémères, juste pour une soirée, en fonction des propositions et des rencontres.

 

Quoi qu’il en soit, je prends toujours du plaisir dans tout ce que je fais !

 

Pour moi, la curiosité est le maître-mot, elle est fondamentale. C’est une qualité inépuisable qui ne cesse de nous enrichir. Elle nous élève, dessine notre chemin, ouvre notre esprit, surpasse les préjugés et nous offre une multitude de rencontres insoupçonnées.

 

 

J’ai toujours accueilli avec plaisir les différentes propositions musicales qui se sont présentées à moi, côtoyant le théâtre, la danse, le chant, l’improvisation et même l’œnologie ! Le plaisir que j’ai pris m’a non seulement nourri artistiquement mais a aussi permis à développer mon réseau. Certains disent que j’ai une bonne étoile, moi je ne pense pas. Il n’appartient qu’à nous de nous donner les moyens de nos ambitions.

 

Et je conclurai par un mot qui pour moi est totalement moteur : la curiosité.

 

Merci beaucoup pour ce bon moment. Je vous suivrai avec grand plaisir.

Publié dans Musique, Théâtre, Télévision

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Laurence Breheret met en avant sa belle actualité !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Laurence,

 

Merci de m’accorder ce moment. Je suis enchanté de pouvoir m’entretenir avec vous.

 

Nous pourrons vous retrouver, sur scène, en duo. Pour poser un peu le cadre, comment présenteriez-vous ce spectacle ?

 

Il y a un an, je suis partie dans un monastère, faire un enseignement avec un moine bouddhiste, au Népal. Il y a eu un « avant « et un « après ». Je crois que l’énergie qu’il y a à Katmandou, ces gens que j’y ai rencontrés, l’enseignement dont j’ai bénéficié, m’ont permis d’accepter mes peurs et de vivre plus sereinement. J’ai été très marquée par le fait de côtoyer des gens qui n’ont pas d’ego, notamment ce moine qui avait une humilité exceptionnelle alors que c’est un véritable puits de sciences. Le vieux moine qui nous a reçus le dernier jour nous a rappelé de cultiver notre esprit, quelques soient notre vie et nos possessions matérielles.

 

De retour, j’ai eu envie d’écrire sur notre rapport au monde, à l’autre, l’ego, le manque, le personnage que l’on se créé dans la vie et auquel on finit par croire. On dit qu’il faut de l’ego sur scène, je dirais qu’il faut surtout de la confiance. J’ai eu envie d’écrire aussi sur l’humilité, j’ai eu envie de parler de l’attachement, de la relation à l’autre, de l’amour, de l’armure des hommes, de celle plus insidieuse des femmes. Le spectacle s’appelle «  Satsang! ou la femme du chevalier à l’amour rouillé  », co-écrit et joué avec Marie-Eve Dufresne.

 

L’idée était d’écrire un spectacle plutôt « drôle » sur le bonheur, qui pose la question de savoir si c’est réellement à l’autre de nous rendre heureuse ou si le bonheur est ailleurs...

 

Cela parle d’une femme qui n’est pas heureuse dans sa vie de couple et qui tente, par les méthodes types méditation, yoga, sophrologie, communication non violente etc… de trouver une issue à sa quête.

 

Cette pièce est une expérience, par rapport aux autres pièces que j’ai pu écrire. J’espère que les gens qui viendront la voir y verront un écho avec leurs propres questionnements…

 

Vous avez commencé à l’évoquer mais pourriez-vous nous en dire plus sur votre personnage ? Comment le présenteriez-vous ?

 

Hélène croit avoir trouvé les clés du bonheur. Elle pense être la meilleure version d’elle-même, et elle accuse l’autre, elle veut changer l’autre. Comme dit le second personnage : «  on ne change pas l’autre mais parfois il s’améliore à mon contact  ». On rencontre la bonne personne (ou pas)  quand on est un être complet. Le voyage est intérieur, personne à l’extérieur ne pourra faire ce chemin à notre place.

 

D’après vous, qu’est-ce qui pourra attirer le spectateur ?

 

Lorsque j’en parle autour de moi, les femmes surtout j’avoue…  disent se reconnaître dans ces propos. Elles m’avouent souvent qu’avec leur conjoint, ils n’ont plus rien à se dire... elles se mettent à détester tout ce pourquoi elles l’avaient aimé.  Ce qui n’est pas étonnant si on attend de l’autre qu’il comble ses propres failles.

 

J’essaie de transmettre ce que j’ai appris depuis 30 ans. J’essaye de réconcilier le « féminin et le masculin » Je crois que l’homme est coupé de la nature et qu’il a besoin de s’y reconnecter.

 

 

Par ailleurs, vous avez aussi des activités dans le doublage. Quelles sont vos actualités dans ce domaine ?

 

J’ai fait deux belles séries avec Ivana Coppola. Elle m’avait mise en scène au théâtre Bastille dans « Courts-circuits ».

 

«  Tin Star  » avec Tim Roth, une série plutôt  trash, sur un couple. Les deux personnages vont au bout d’eux-mêmes. Pour ce doublage, nous devons contacter nos parts obscures avec Nicolas Marié , qui doublent mon mari, et Ivana ne lâche rien…

 

Je double également une autre série : «  The man in the hight castle  », sur la deuxième guerre mondiale. Il y a également «  The Crown  » avec Helena Bonham Carter, sur la reine d’Angleterre. Je reprends «  Games of Thrones  », pour la dernière saison. Je double également Sylvanas Coursevent dans «  World of Warcraft  », une guerrière.

 

Voyez-vous des complémentarités entre ces deux métiers ?

 

Si je ne retourne pas au théâtre, j’oublie mes racines. Au doublage, nous devons être vigilant pour ne pas perdre l’écoute, chercher sans cesse la sincérité, être dans la pensée du personnage.  Du fait de la technique si présente, nous pouvons perdre cette liberté. Les contraintes du doublage (même émotion, même rythme, même ouverture de bouche, même attitude etc… que l’acteur original) n’existent pas au théâtre. Il faut sans cesse veiller à ne pas « faire de la voix ». C’est vraiment un travail d’acteur ! L’un nourrit l’autre.

 

Pour la suite, avez-vous des envies artistiques ?

 

J’aimerais peut-être plus tourner, mais je suis vraiment dans le moment présent. J’ai toujours eu des envies et c’est ce qui m’a fait me lever le matin. Il y a parfois des moments magiques, tout peut arriver dans ce métier mais aussi rien ne peut arriver.

 

C’est un vrai travail quotidien de se sentir prêt à recevoir ce que la vie a à nous offrir…

 

Merci beaucoup pour cet entretien, nous viendrons vous voir et vous écouter avec un grand plaisir !

Publié dans Théâtre, Télévision

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Marina Gauthier dévoile son actualité théâtrale !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Marina,

 

C'est toujours un plaisir de vous retrouver pour un nouvel entretien.

 

Votre actualité d'assistante mise en scène est très riche. Notamment «  La vie rêvée des autres  » que l'on peut retrouver, comme d'autres pièces que l'on évoquera, à l'Apollo Théâtre. Très simplement, pour poser le cadre, comment décrire ce spectacle  ?

 

C'est un seul en scène innovant interprété par l'imitateur et comédien Pascal Haumont, écrit par Olivier Maille et Pascal Haumont. Il incarne six personnages hauts en couleurs sur scène, notamment Luchini, Bacri, Benigni ou encore Gallienne. Loin des spectacles d’imitations classiques, les personnages deviennent acteurs d’une pièce de théâtre humoristique, philosophique, poétique et profondément humaine.

 

Selon vous, qu'est-ce qui plaît aux spectateurs  ?

 

La performance de Pascal Haumont est remarquable et inédite. l'histoire poétique, le chant et les imitations de personnages célèbres font de “ la vie rêvée des autres “ un spectacle époustouflant.

 

Rendez-vous les Mercredis à 21h30 à l'Apollo théâtre.

 

 

A titre plus personnel, en quoi consiste votre rôle d'assistante mise en scène lorsqu'une seule personne seulement est présente sur les planches  ?

 

Sur ce projet-là, j’accompagne Olivier dans la direction d'acteur, la mise en scène. Nous avons souligné le talent de Pascal à travers une belle histoire.

 

Même pour votre fonction, êtes-vous amenée à regarder de nombreuses vidéos des personnes imitées  ? Ou vous focalisez vous vraiment sur l'artiste lui-même  ?

 

Il y a des règles et des codes bien-sûr alors nous nous sommes renseignés sur la manière de faire, et nous avons étudié le profil de ces célébrités. Nous nous sommes inspirés mais nous avons lié notre propre vision.

 

En parallèle, toujours à l'Apollo Théâtre, vous accompagnez l'équipe de «  Un coup de génie  ! ». Comment décririez-vous cette pièce  ? Quels thèmes y sont abordés  ?

 

La pièce a été écrite par Olivier Maille et Quentin Lesaffre, basée sur la Process Communication. J’assiste Olivier à la mise en scène sur ce projet.

 

C'est l'histoire d'un couple en crise en plein déménagement. Soudain, un génie apparaît des cartons et il a le pouvoir de changer les comportements. L'auteur s'est imaginé à écrire cette pièce en se posant la question «  et si on pouvait changer l'autre ?  ». Sur le thème des relations de couple, poussant à la réflexion, l'histoire nous transporte avec drôlerie et légèreté. Olivier signe là sa nouvelle comédie profonde...

 

La distribution y est alternante. Pour faire le lien avec votre travail, ce changement ponctuel de comédiens influence-t-il votre façon d'aborder vos tâches  ?

 

Ils sont tous différents, c’est ce qui est intéressant. Chacun d'entre eux dessine un personnage propre à son imagination. Mais ils répètent ensemble et nous nous efforçons à garder une ligne, un cadre de travail qui permettent par la suite une ouverture aux propositions de jeu.

 

 

Quelles sont les clés, d'après vous, du succès de ce spectacle, qui devrait se prolonger pendant encore plusieurs mois  ?

 

C'est une comédie fraîche et actuelle. Tout le monde se sent concerné car on y évoque les rapports humains et notamment les sujets de couple. Je salue d’ailleurs les comédiens qui portent si bien cette histoire. Thierry Simon, Shemss Audat, Florent Chesné, Frédérique Auger, Hubert Myon et Mathieu Mocquant.

 

Retrouvez « Un coup de Génie » les jeudis à 21h30 et les samedis à 16h à l'Apollo théâtre.

 

Vous évoquiez votre travail en étroite collaboration avec Olivier. Vous qui le connaissez bien, comment évoqueriez-vous ses sources d’inspiration et sa façon d'aborder la création de ses spectacles  ?

 

Pour moi, Olivier a une manière de lier toutes ses pièces. Elles ont toutes un point commun, il aime mettre en scène des personnages qui ont une difficulté à résoudre des craintes profondes. Il aime raconter des histoires en allant de la comédie fantastique à celle de couple, en passant par des drames ayant pour toile de fond l'Amérique esclavagiste. Il tient cette habitude de son ancienne profession d'avocat, qui apprend qu'une histoire a toujours plusieurs points de vue et qu'il est complexe de savoir au final qui a raison.

 

Je suis ravie de travailler avec lui, j'admire son travail et sa créativité débordante. Je pense que l'on commence à reconnaître sa patte et son style parmi d'autres pièces. Également, je partage son humour et la nature profonde de ses sujets.

 

Nous le disions, votre actualité est riche. Elle est aussi variée. Plus généralement, quels sont les autres programmes sur lesquels vous êtes amenée à collaborer en ce moment  ?

 

On prépare actuellement un projet qui sera présenté à Avignon, «  Sous mon aile  ». C'est entre la pièce de théâtre et la comédie musicale. C'est, encore une fois, un projet avec une histoire profonde et poétique sublimée par des comédiens également chanteurs et nous aurons un musicien en live sur scène.

 

Je suis très heureuse de faire partie de ce projet, notamment au niveau des inspirations, des décors et des costumes. Nous allons le présenter au théâtre de La Luna, à Avignon, pendant tout le Festival en juillet.

 

 

Je reprends aussi le rôle de Sarah dans la pièce, «  Couple, les dix commandements » d'Olivier Maille.  C'est une comédie originale qui vous réconciliera avec l'amour, que vous soyez en couple ou pas ! Nous sommes actuellement en tournée et j'aspire à porter ce projet avec toute l'équipe. Vous pourrez d’ailleurs me retrouver pour une date exclusive à Paris à l'Apollo théâtre le 14 Mars !

 

 

Merci Marina pour toutes vos réponses  !

Publié dans Théâtre

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Laurent Bateau évoque sa belle actualité télévisuelle !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Laurent,

 

Merci de nous accorder ce moment, c’est un vrai plaisir de partager avec vous.

 

Nous pourrons vous retrouver dans un format 6 fois 52min, dans la série « Philharmonia ». Comment présenteriez-vous cette série ?

 

C’est une série sur un univers, celui de la musique, qui a été peu exploité jusque là à la télévision. On s’imagine des personnes guindées, cérébrales, alors qu’en fait ce sont des personnes qui vivent exactement ce que chacun vit à son travail : les jalousies, les engueulades, les questions de paye etc…

 

Ce n’est pas une série sur la musique, ce n’est que la porte d’entrée pour traiter d’autres sujets.

 

En ce qui concerne mon rôle de directeur, l’état parachute dans mon orchestre une jeune chef, ce qui est gênant pour les finances du Philarmonia.

 

Êtes-vous mélomane et quelles ont été vos sources d’inspiration ?

 

J’écoute un peu de musique classique de temps en temps .

 

J’ai notamment regardé des documentaires, entre autres avec le directeur de l'opéra, duquel je me suis inspiré. J’ai regardé tout ce qu'il pouvait y avoir comme soucis et rapports de force.

 

J’ai aussi rencontré la directrice de l’orchestre national d’Île-de-France à qui j’ai posé de nombreuses questions. Enfin, j’ai essayé de ne pas être qu’une fonction mais aussi un être humain : ça, c’est le travail normal d’un comédien.

 

D’après vous qu’est-ce qui va plaire au téléspectateur ?

 

Les décors : totalement inhabituels, la Philarmonie, les salles de répétitions… ça change du milieu des flics ! Ces personnages de la série ont les mêmes problèmes que tout un chacun.

 

L’écriture aussi est intéressante. Il se passe beaucoup de choses , c’est très riche. Enfin, la réalisation est très élégante, assez peu conventionnelle et avec de bons acteurs en plus.

 

En terme de composition d’orchestre, y a-t-il également des musiciens de métier ?

 

Il n’y a pas assez de comédiens de ce niveau musical. Nous avons été aidés par les musiciens de l’orchestre national d’Île-de-France justement. Ils ont été tout le temps bienveillants, très patients et très sympas !

 

Si la chaîne venait à prolonger cette aventure au delà des 6 épisodes prévus, est-ce que vous seriez motivé pour reprendre votre rôle ?

 

Oui, bien sûr !

 

Vous serez également à l’affiche, au mois de février, d’un téléfilm « Une vie après » sur ARTE. Comment présenter ce projet ?

 

L’histoire est tout à fait simple : une séparation. Le casting est composé d’Emilie Dequenne, Frédéric Pierrot, Marilyne Canto et c’est réalisé par Jean-Marc Brondolo.

 

Deux situations parallèles vont se relier accidentellement. C’est un très beau film, qui a eu quelques prix, notamment à La Rochelle.

 

Le réalisateur a fait un travail magnifique, touchant, sublime. Jean-Marc Brondolo a une telle sensibilité qu’il a donné une autre dimension à ce texte.

 

Est-ce que les différences de temps de tournage ont influencé votre jeu ?

 

Le travail est strictement le même, on a simplement plus le temps de s'installer dans le rôle sur une série. C’est pour cela que je préfère ce format

 

Quelles sont vos projets et actualités ?

 

Il y a « Les grands » sur OCS, qui est l’un des plus grands espaces de liberté actuellement. Je joue le directeur de l’établissement et, dans la troisième saison, on m'a offert une très belle partition.

 

 

Ce fut une joie, Laurent, de partager avec vous !

Publié dans Télévision

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