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Koh Lanta : Fabrice, candidat du Nord, évoque son départ au 35è jour de l'aventure !

Publié le par Julian STOCKY

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Bonjour Fabrice,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

On a pu le voir dans l’épisode de « Koh Lanta » vendredi dernier sur TF1, vous avez dû quitter l’aventure à l’issue d’une épreuve éliminatoire. Comment avez-vous réagi lors de la diffusion de ces images ?

A chaque épisode, quand on revoie les images, on se replonge dans l’aventure, on se croirait encore les pieds dans le sable. Tous les souvenirs se rappellent à nous, les sensations, les odeurs, tous nos sens reprennent vie et on retrouve tout ce que l’on a vécu sur l’aventure là-bas, aux Fidji.

Effectivement, j’ai pu revoir les images de ma performance pas terrible sur l’épreuve…Dès le matin, je savais que ce jour-là était important. Quand j’étais en train de mettre mes chaussettes, au matin, je ne savais pas lesquelles choisir : celles avec des petits décors dessus ? ou pas ? Je pensais déjà que je passerai un peu plus à l’écran pendant les épreuves, j’avais cette impression, je mettais donc mis la pression dès le matin. Quand on est arrivés sur la plage, que l’on a vu Denis droit comme un « I » en nous annonçant que c’était une épreuve d’immunité sur laquelle le dernier serait éliminé sur le champ, gros coup de pression. Quand il a donné le top départ, j’étais hyper tendu. Ce sont des jeux où, soit on met les trois boules rapidement tant que l’on arrive à gérer encore la pression, soit ça devient plus compliqué. J’allais mettre ma troisième boule mais je n’avais pas bien fait attention au niveau du sablier derrière et j’ai dû arrêter. J’y étais pratiquement, il ne me restait plus que la dernière boule à mettre. Quand Denis m’annonce qu’il faut tout arrêter parce que ma boule est dans la rigole noire, ce fut un gros coup de pression et je me suis alors dit que ça allait être dur pour moi. Au fur et à mesure des minutes, je m’épuisais. J’entendais aussi qu’Ava s’épuisait mais plus on dure dans l’épreuve, plus c’est difficile. Voilà, je ne voyais plus le bout de l’épreuve.

Je me suis repassé cette épreuve des centaines et des centaines de fois dans ma tête, j’en ai fait des cauchemars. Je n’étais pas loin mais c’est comme ça, c’est le destin, c’est le jeu. Je n’y suis pas arrivé….Je suis sorti, je suis allé dans le jury final, j’ai retrouvé des collègues aventuriers, on a passé des super moments, ma sortie était donc un mal pour un bien.

Au moins, vous pourrez dire que vous n’avez pas été éliminé suite aux votes de vos camarades ?

Quand je suis parti comme ça, sur le champ, j’avais trop mal. Je m’étais dit que je pouvais aller encore un peu plus loin. On était au 35è jour, les jours avançaient les uns après les autres mais quand Denis m’a dit que je partais d’un côté et les aventuriers de l’autre, c’était vraiment difficile. C’était difficile de les quitter mais quand je suis arrivé au jury final, quand j’ai vu les anciens aventuriers, Bertrand-Kamal m’a dit que l’on n’avait pas éteint notre flambeau, ce qui est la plus belle sortie. Je lui ai répondu qu’il avait raison et qu’il fallait se raisonner ainsi, même si je l’avais mauvaise quand même. Effectivement, on ne m’a pas éteint mon flambeau, je n’en veux à personne, personne n’a voté contre moi. Du début jusqu’à la fin, ce n’était que du bonheur, je n’ai jamais eu de rancune, je n’en veux à personne, mon aventure est claire, nette et belle.

 

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Justement, quels resteront vos plus beaux souvenirs sur cette aventure ?

Du début jusqu’à la fin. Quand Denis nous apprend que l’on va être réunis en régions et que je vais représenter le Nord…Depuis le début, je m’étais battu par rapport à cela, j’avais mis en avant ma ville de Maubeuge, j’ai mis en avant ma région. C’était magique d’être dans l’équipe des violets pour défendre sa région. Participer à « Koh Lanta » est exceptionnel et défendre sa région était super.

Dans l’aventure, il y a eu de supers moments, notamment quand on a gagné le confort avec les rouges et que nous sommes allés sur le bateau. Nous avons mangé, dansé, chanté, c’était exceptionnel. Tous les jours, il y avait de belles choses. L’émotion était un jour au plus bas et le suivant au plus haut. J’ai gagné un confort avec Lola, mon binôme du Nord, c’était aussi exceptionnel, je n’oublierai jamais. Il n’y a eu que des bons moments, on oublie la souffrance, la faim, le froid… Quand on vit de super moments comme ceux-là, on met loin loin de notre esprit les mauvais moments et on en retire que du positif.

Au quotidien, sur le camp, quelle place, quel rôle pensez-vous avoir eu ?

Au quotidien, j’étais proche de tout le monde, j’étais à l’écoute de tout le monde, j’étais comme je suis tous les jours. J’étais très proche de chacun, surtout des violets, l’équipe du Nord, où on avait commencés ensemble. J’étais donc d’autant plus proche d’eux. J’étais à l’écoute, un peu comme je le suis d’habitude. J’étais avenant, j’allais pêcher, j’allais chercher du bois. Sur le camp, toutes les minutes pour moi étaient importantes. On m’avait offert un super cadeau, une super aventure, je n’arrivais pas à faire la sieste ou à me mettre sur un rocher, je voulais apprécier chaque moment. On me disait d’arrêter de bouger mais j’étais tellement heureux que je n’arrêtais pas de faire plein de choses. J’ai apprécié mes collègues aventuriers, on était une belle équipe où chacun avait sa place.

Les différents épisodes ont mis en avant notamment votre « indépendance » dans les stratégies. On imagine qu’il s’agissait là d’une démarche volontaire de votre part ?

Oui, c’est ce qui est apparu à l’écran. J’avais tellement de mal à voter contre quelqu’un, à mettre un nom sur un bout de papier, j’avais du mal à prendre des positions. Les conseils étaient plus difficiles que les épreuves pour moi. Effectivement, j’avais du mal. Je préférais faire des alliances que des stratégies contre quelqu’un. A l’écran, ça s’est vu que j’étais un peu en dehors de toutes les stratégies mises en place. Je votais toujours en âme et conscience, souvent avec le cœur.

Au moment de partir, quels sont vos coups de cœur parmi les aventuriers encore dans le jeu ?

Je les apprécie tous, un Dorian, un Loïc, tous les derniers que j’ai laissés méritent de gagner. J’ai un petit coup de cœur pour Lola, on était proches, on avait des relations très amicales, voire même pratiquement père/ fille sur l’aventure. Elle est mon petit coup de cœur, j’espère qu’elle ira loin et Angélique aussi. De toute façon, tout le monde mérite d’aller jusqu’aux poteaux. Qui que ce soit, ce sera une super personne car ils sont tous exceptionnels.

Merci, Fabrice, pour toutes vos réponses !

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Crimes Parfaits : Laura Mathieu évoque son personnage de guest dans la série à succès de France 3 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Laura,

Quel plaisir d’effectuer ce nouvel entretien avec vous !

On pourra vous retrouver le mardi 24 novembre prochain, sur France 3, dans un épisode inédit de la collection « Crimes parfaits ». Sans tout en dévoiler, comment pitcheriez-vous « Master du crime », l’épisode en question ?

Ce sont des étudiants en criminologie qui vont se retrouver confrontés à un drame dans leur propre classe. J’y interprète une étudiante en criminologie, confrontée comme tous les autres étudiants à ce drame qu'ils n'avaient pas imaginé.

Au moment de son interprétation, avez-vous eu des sources particulières d’inspiration ? Peut-être connaissiez-vous aussi déjà la série ?

Je connaissais la série mais c’est vrai que, pour ce qui est de l’interprétation d’un personnage élève en criminologie, je me suis plus inspirée de la série « Murder ». Où l’on retrouve aussi des étudiants en criminologie. Ça m’a fait penser à ce programme, je l’avais à l’esprit au moment du tournage. Avec ce côté un peu déconneur des étudiants mais assez sérieux dans le travail.

Et puis, j’ai fait de longues études en sciences et même si ça commence à remonter, je me souviens encore très bien de la FAC, de l’ambiance des cours en amphi...

 

 

Comparativement à un programme plus récurrent, notamment « Demain Nous Appartient », avez-vous senti des différences dans la façon d’aborder votre personnage ?

On n’a pas le temps, contrairement à DNA, de voir évoluer son personnage. Il y a plus une couleur donnée que l’on retrouve sur les quelques séquences dans lesquelles je joue sur cet unitaire. Je suis partie avec une couleur et j’en ai utilisées quelques autres pour tourner. Mais on n’utilise pas la même palette que sur DNA, où on nous propose une évolution de semaine en semaine. Et puis sur ce film, je n’ai pas beaucoup de séquence, comparé à la quotidienne. Ce n’est donc pas du tout la même chose. On connait son personnage, on le joue mais on n’a pas le temps de le voir évoluer comme sur six mois de tournage. C’est beaucoup plus restreint, on a moins de possibilités du coup.

Selon vous, qu’est-ce qui plaira aux, on l’espère, nombreux téléspectateurs qui regarderont cet unitaire ?

Les petites touches d’humour, notamment le rôle interprété par Isabelle Otero qui doit manger tout le temps, c’était très drôle à tourner, parfois moins pour elle qui était obligée de manger à nouveau à chaque prise. C’est assez frais à regarder. J’espère que ça transparaitra à l’écran comme ça s’est passé sur le tournage. C’était très agréable à tourner, très frais, on se marrait bien, il y avait vraiment une bonne cohésion d’équipe, c’était très sympathique. C’était vraiment très chaleureux, ça chantait beaucoup dans les couloirs donc c’était rigolo. Notamment Hubert Roulleau qui aimait bien chanter, c’était très drôle. J’espère que c’est ce qui sera ressenti à l’écran. En tout cas, on s’est bien amusé à le tourner.

Plus globalement, malgré le contexte sanitaire actuel, avez-vous quand même pu aboutir d’autres projets ?

La période est très compliquée. J’avais beaucoup de dates de théâtre programmées lors des deux confinements. Tout ça est tombé à l’eau. C’est vrai que c’est très très compliqué. Même sur « Demain Nous Appartient », il y a énormément de réorganisation de plannings et d’arches. Ce n’est pas hyper facile à gérer parce que l’on ne sait pas du tout de quoi demain sera fait.

On m’avait proposé des projets qui ne se tourneront pas dans l’immédiat. On espère que ça s’arrangera au plus vite. On ne sait plus du tout si la tournée va être reportée ou pas, si les tournages vont être reportés ou annulés… suspens… La suite au prochain épisode !!

Merci, Laura, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Kareen Antonn évoque son actualité et ses projets pour la suite de son parcours !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Kareen,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

En parallèle de votre parcours dans la musique et le chant, vous avez lancé récemment un autre projet, « Psy.K.Ose ». Comment le présenter ? De quoi s’agit-il ?

C’est simplement le fait de désacraliser les métiers psychologiques. Beaucoup de gens ont encore de nombreux préjugés et hésitent à aller parler à quelqu’un, à aller voir un professionnel lorsqu’ils se sentent mal ou lorsqu’ils ont des doutes. En ce moment, il y a beaucoup de gens qui dépriment et qui se posent des questions sur eux-mêmes, qui ne savent pas à qui s’adresser, qui n’osent pas aller voir des psychologues. J’ai un certificat de psycho-praticienne que j’ai obtenu il y a deux ans maintenant. J’ai vraiment l’envie, en parlant avec les gens, d’expliquer des notions de psychologie de manière simple, de manière drôle, pour leur montrer qu’un psy, ce n’est pas que quelqu’un de très sérieux, qui fait peur ou qui va juste opiner la tête en disant « oui, oui, d’accord, je vous comprends ». C’est aussi une personne avec une vraie vie, qui a les mêmes problématiques et qui peut être à l’écoute et accessible.

Qu’est-ce qui vous a donné l’envie de développer ce projet ?

Ça fait longtemps que j’avais envie de développer des projets comme celui-ci. La psychologie a toujours fait partie de mes passions. Toute petite, je voulais être psychologue scolaire. Après, la musique a pris le dessus. Très vite, j’ai fait des études pour être technicienne de la voix et je me suis rendue compte du lien direct qu’il y avait entre la voix et l’état psychique. Donc j’ai commencé par intégrer des notions de psycho via le chant. Mais au lieu de passer systématiquement par la voix (beaucoup de gens me disaient ne pas savoir chanter), je voulais aussi leur permettre d’accéder à cette même méthodologie, juste en parlant, avec des méthodes peut-être un peu différentes de la plupart des psys parce que je suis aussi différente moi-même de par mon activité première.

Donc, voilà, c’est peut-être un peu plus rock’n roll, un peu plus marrant, un peu plus ludique, mais, en tout cas, ça a le bénéfice de fonctionner et d’éviter de trop intellectualiser les choses.

Ça peut être en direct avec les gens en Visio, au travers de consultations. J’ai aussi un cabinet, ouvert le jeudi, dans le Sud-Ouest, où je pourrai recevoir les gens pour des consultations « normales » dès que l’état me l’autorisera.

 

 

Selon vous, qu’est-ce qui pourra plaire aux, on l’espère, nombreuses personnes qui vous suivront ?

Justement le fait d’instaurer un rapport humain simple. J’ai eu l’occasion de rencontrer pas mal de gens de la profession : des psychiatres, des psychologues etc… C’est vrai qu’il y a souvent un côté très officiel, très procédurier, très sérieux, qui peut faire peur et qui peut démotiver des gens qui ont surtout besoin d’un ami virtuel à ce moment-là. On a du mal à trouver quelqu’un qui ne soit pas trop infantilisant et qui, au contraire, soit plus dans la motivation.

J’aime aussi m’occuper d’adolescents. Je pense qu’ils ont besoin d’avoir quelqu’un qui ait à peu près leur langage, qui ait à peu près leur culture, qui soit à peu près au courant de ce qu’ils regardent, de ce qu’ils écoutent et de leurs problématiques. Evidemment, à 40 ans, je suis vieille pour eux! Rires

Mais je pense être quand même encore un tout petit peu dans le coup et ne pas être moralisatrice ni leur donner cette image de professeur.

A l’aube de cette nouvelle aventure, que peut-on vous souhaiter avec celle-ci ?

On peut me souhaiter déjà que les réseaux fonctionnent, que les gens soient curieux, qu’ils aient envie de venir vers moi. S’ils n’osent pas encore tenter le rendez-vous par Visio parce que je sais que c’est un peu particulier, qu’ils n’hésitent pas à prendre rendez-vous dès maintenant.

A côté de cela, dans le contexte actuel, quels sont vos projets musicaux du moment ? Et vos envies pour la suite ?

Les projets que j’avais ont été légèrement avortés par tous les évènements. Je travaille avec Tendances & Cie, nous devions faire de nombreuses dates l’été dernier. On travaille en ce moment sur la conception d’un nouvel album. L’avantage, c’est que nous prenons le temps de faire les choses bien! Tout a été reculé et recule sans arrêt. Mais on continue, on avance, même s’il nous est impossible de mettre une date de sortie pour l’instant.

 

 

Plus généralement, quelles complémentarités éventuelles retrouvez-vous entre ces deux domaines ?

Moi chanteuse et moi psy ? Le vrai point commun que je pourrais trouver à mes trois activités (je suis prof de chant aussi) est que j’essaie de faire prendre du plaisir aux gens et de leur faire oublier un quotidien extrêmement compliqué et pesant. Quand je chante, j’espère les faire sortir de leurs galères le temps d’une chanson ou d’un concert. Quand je donne des cours, c’est pareil. Quand je fais des consultations, le but est aussi qu’ils repartent allégés de pas mal de choses. C’est un partage d’énergie. S’il n’y a pas ce partage-là, ça ne m’intéresse pas. Il y a des chanteurs qui chantent chez eux, juste pour eux. Si je n’ai personne en face, ça ne m’amuse pas de chanter.

Si l’on revient sur votre parcours musical riche et varié, quels en sont vos plus beaux souvenirs ?

J’en ai vraiment beaucoup ! J’ai des souvenirs qui vont dans tous les sens. Evidemment que j’ai des souvenirs incroyables avec Bonnie Tyler lors du duo que j’ai pu faire. J’ai des souvenirs aussi complètement fous lors de plus petits évènements, de gens qui n’ont pas trop de moyens et qui nous reçoivent avec une générosité incroyable, où l’on se retrouve avec des publics tellement heureux que l’on prend une dose d’amour fantastique.

J’ai des souvenirs dingues aussi au cabaret où je travaillais avant parce que c’était la vieille école et parce que l’on était une équipe. J’ai des souvenirs fous de voyages magnifiques que j’ai pu faire un peu partout dans le monde. Ce métier m’a permis d’aller dans 52 pays, c’est un privilège incroyable.

J’ai encore des souvenirs récents de petits établissements. Cet été, j’ai décidé de reprendre un peu mes vieilles habitudes. Comme on ne pouvait plus trop travailler, je suis allée à la rencontre des gens dans des petits lieux, du coup j’ai retrouvé ce contact que je n’avais pas eu depuis une éternité et c’était top. C’était super aussi d’avoir cette proximité en petit comité. C’est complètement différent mais j’arrive à prendre plaisir dans toutes les circonstances, tant que le partage est là et que les gens viennent pour avoir un peu de plaisir aussi.

Quelles sont vos principales inspirations musicales ?

Elles remontent à quand j’étais petite, elles sont très anglaises, très pop rock. Je pourrais citer Sting, U2 par exemple… Ma maman écoutait beaucoup cela à l’époque. Paradoxalement, j’aime aussi la chanson française avec des chansons à texte que j’ai découvertes un peu plus tard, quand je suis rentrée en cabaret. J’ai eu vraiment un coup de foudre pour le métier d’interprète.

J’aime beaucoup tout ce qui est acoustique, j’aime beaucoup les balades. Je pense aussi au groupe allemand Scorpions, avec ces titres incroyables qui m’ont beaucoup inspirée. Ma maman écoutait beaucoup cela aussi. Je crois, en fait, que ce sont les longs voyages en voiture avec ma mère qui m’ont le plus travaillée au niveau des influences musicales que je peux avoir aujourd’hui.

 

 

Dans les derniers instants juste avant de monter sur scène et d’aller rencontrer le public, quelle est votre méthodologie de préparation et de concentration ?

Ça dépend des contextes. Si ce sont des contextes comme j’ai fait cet été, en plus petite formation, avec des plus petits comités, je n’ai aucune méthodologie, si ce n’est que je vais rester avec les gens. Je vais manger au milieu d’eux, je ne vais pas m’isoler du tout, je vais m’imprégner pour que l’on partage déjà quelque chose. Des « coucou », des « bonjour ». Comme cela, quand je monte sur scène, j’ai l’impression de chanter devant des gens que je connais. Et eux-mêmes ont déjà cassé cette barrière, ce qui va leur permettre de participer et d’avoir plus d’interactivité.

Si c’est une grosse scène et quelque chose d’un peu plus officiel, je retrouve le même trac que quand j’ai commencé. Dans ce cas-là, j’essaie de faire abstraction mais, oui, j’ai peur, comme au début. Ça ne me lâche pas, c’est toujours pareil. Donc je vais me concentrer, je vais respirer. Comme maintenant je commence à avoir pas mal d’années d’expérience, j’essaie de me dire que je peux simplement me faire confiance parce que, normalement, je sais le faire. J’essaie surtout d’être la plus vraie possible. Si j’ai peur, on ne me verra pas faire « wouhou », on verra que j’ai un peu peur et je vais le dire.

En prenant un peu de hauteur sur tout cela, qu’est-ce qui vous plait tant dans votre quotidien artistique ?

C’est que, justement, il n’y a pas de quotidien. Je n’ai aucune barrière, ça fait partie aussi de l’insécurité de ce métier mais c’est également ce qui crée sa richesse et sa magie. Il peut y avoir un coup de fil qui nous annonce que la semaine d’après sera unique et différente des précédentes et de toutes les années d’avant. Ce métier est plein de surprises, tout le temps, plein de rencontres nouvelles, plein de nouvelles expériences et il n’y a aucune limite à ce qu’il y ait de la nouveauté sans arrêt.

Merci, Kareen, pour toutes vos réponses !

Publié dans Musique

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Koh Lanta : Alix évoque avec nous ses 32 jours d'aventure aux Fidji !

Publié le par Julian STOCKY

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Bonjour Alix,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous avez été éliminée de l’aventure « Koh Lanta » lors de l’épisode diffusé vendredi dernier. A titre personnel, comment avez-vous vécu la diffusion des images ? Ont-elles ravivé en vous certains souvenirs ?

Je l’ai vécu assez sereinement. Le visionnage des épisodes, que ce soit celui-ci, celui de mon arrivée ou les autres, suit à chaque fois le même petit rituel : petit apéro, avec modération bien sûr, en famille puis un visionnage plutôt tranquille.

C’était une très belle aventure pour moi, ça n’a pas ravivé vraiment d’émotions. Celles-ci étaient plutôt à l’instant T. La diffusion est surtout pour mes parents et mes proches, afin de leur partager cette aventure. Après, c’est vrai que ça a quand même un petit gout de revanche, parce que partir sans que mon nom ne soit mis sur un papier reste quand même un peu au travers de la gorge. Mais voilà, c’est le jeu, j’avais signé. Je ne peux pas dire que ce soit douloureux, la diffusion est surtout un moment de partage en famille.

Au moment de rejoindre le conseil, dans quel état d’esprit étiez-vous ? Vous sentiez-vous réellement en danger ?

Oui, oui, clairement. Je me sentais déjà en danger au conseil précédent. Manque de bol pour eux, ils n’avaient pas réussi à se mettre d’accord sur mon prénom donc, au final, c’est Jody qui était sortie. Là, quand je tire la boule couleur saumon, je comprends que je suis avec Laurent, qui avait déjà été cité précédemment à droite et à gauche sur le camp et pendant le conseil aussi. Je me suis dit qu’il fallait garder la tête haute car on était clairement dans la panade. Donc, effectivement, je vais à ce conseil pas du tout sereinement. Sincèrement, je sens que je pars. J’avais essayé de chercher un collier, de faire des pieds et des mains mais, malheureusement, ils ont réussi à se mettre d’accord sur un nom, celui de Laurent et, du coup, je prends le départ avec lui.

Cet épisode a été celui des binômes. Comment s’est passée votre collaboration avec Laurent ?

Pendant les épreuves, Laurent était méga à l’écoute. Il m’avait demandé de le driver et m’avait dit qu’il me suivrait. C’est pour cela que j’ai l’air un peu autoritaire avec lui mais c’est lui qui me l’avait demandé. Il était hyper investi au sein de notre binôme, que ce soit pour les stratégies ou la communication. On a beaucoup discuté lui et moi, on a pris des décisions ensemble. On était très en cohésion.

On vous a sentie, dans les jours précédents votre départ, presque à bout physiquement ?

Clairement, ma tête avait beau dire à mon corps « on avance », mon corps n’en pouvait plus. Je n’arrivais plus à manger, le riz ne passait plus, la coco ne passait plus, l’eau avait beaucoup de mal à passer, j’étais dans un état physique assez déplorable et c’est vrai que ça se voyait que j’étais dans une souffrance. Mais je m’étais dit qu’il fallait que je garde la tête haute. Au final, j’ai quand même craqué face caméra car j’étais vraiment à bout et, physiquement, ça commençait à être terrible.

Comment avez-vous vécu votre rôle de capitaine d’équipe, lorsque les quatre régions ont été regroupées en deux camps ?

Pour moi, c’était une consécration. Quand je suis montée sur ces pilotis, j’avais vraiment une rage de vaincre. A la base, je ne savais pas du tout pour quoi je me battais, j’avais l’impression plus de me battre pour les bleus et par revanche par rapport à ce qui s’était passé la veille avec l’élimination de Mathieu. Quand je monte sur ces pilotis, je me suis dit que personne ne gagnerait à part moi. Quand je découvre que c’est un rôle de chef d’équipe qu’il y a derrière la récompense, c’est encore mieux pour moi. Ce que je vais dire n’est pas un manque d’humilité mais j’ai un leadership naturel qui fait que j’adore accompagner mes troupes pour aller le plus loin possible. Au final, je le fais donc je suis aussi très fière. Maintenant, c’est vrai que chef d’équipe est également un cadeau empoisonné parce que les gens se cachent derrière nous pour se reposer, pour critiquer plus facilement. Ca attise aussi parfois la jalousie. Mais je n’ai volé ma place à personne. Si quelqu’un avait voulu être chef à ma place, il aurait fallu gagner ces pilotis, ce qui n’a pas été le cas. Voilà, c’est un cadeau mais, en quelque sorte, qui est empoisonné.

 

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Quels resteront vos plus beaux souvenirs de cette aventure ?

Je dirais que j’ai trois grands souvenirs. Le premier est cette toute première épreuve d’immunité, avec les bleus, où je rattrape Dorian et Samuel pour éviter le conseil. Je me rappelle de mes camarades qui crient mon nom, c’était vraiment hyper fort émotionnellement. Quand j’arrive, que je pose cette hache sur le ponton et qu’ils me prennent tous dans leurs bras, je me dis que cette bande de « clampins » que je connais depuis deux jours est, à partir de maintenant, ma famille. Il y a des liens qui se tissent hyper fort, c’est incroyable. On aura beau décrire ces émotions de toutes les façons possibles, tant que l’on ne vit pas cette aventure, c’est difficile de comprendre que l’on peut s’attacher en si peu de temps à ces personnes que l’on ne connait pas et que l’on n’aurait même pas pu croiser dans la vraie vie.

Le second est forcément ma victoire sur les pilotis. C’est vrai que je me suis vraiment donnée à fond, mentalement et physiquement, pour avoir cette victoire. Ça a été très très fort émotionnellement. Le dernier est un peu ma consécration personnelle aussi, c’est cette victoire sur le parcours du combattant, alors que j’étais déjà au bout du rouleau.

Qu’est-ce qui a été le plus dur au quotidien ?

C’est un mélange de plusieurs petites choses. On ne mangeait pas donc on était faibles. Accepter que l’on est faible physiquement, pour quelqu’un qui aime beaucoup bouger, est un peu compliqué. On ne mangeait pas, on ne dormait pas et c’est l’accumulation, je pense, de manque de nourriture et de fatigue qui est compliquée. On a beau se dire que si on y retourne pour une nouvelle aventure, on mettra de l’eau dans son vin mais on ne sait pas à l’avance. Sur place, on ne dort pas, on ne mange pas, on est à fleur de peau. Tout le monde est à fleur de peau, il y a un effet de groupe qui fait que les émotions et les sentiments sont décuplés. Ça peut créer des petites explosivités au sein du groupe. C’est ce qui est difficile à gérer. C’est aussi fatiguant, je dirais, que le manque de nourriture et de sommeil.

Sur le camp, quelles tâches aviez-vous à cœur de faire ?

Sur le camp, je dirais le feu et la nourriture. Déjà, de base, dans la vraie vie, j’adore faire à manger. C’est vrai que, sur le camp, je le faisais naturellement. Il faut savoir que personne ne s’est jamais proposé de venir faire à manger à ma place. Personne ne prenait d’initiative particulière vis-à-vis de cela. Du coup, je le faisais naturellement, c’était devenu ma petite routine pour m’occuper. Mais, au final, ça m’a été reproché, forcément. Je m’occupais du feu aussi la nuit. Au début, chez les bleus, je prenais cela à cœur dans le sens où c’était mon rôle de m’en occuper la nuit pour mener mon équipe et, pour permettre aux plus faibles dans les épreuves, de mieux dormir. Par la suite, je l’ai fait naturellement, même sur la tribu des réunifiés. Le feu et la nourriture sont des choses qui me tenaient vraiment à cœur. Après, quand je demandais un relai de temps en temps, ce qui arrivait surtout vers la fin, les gens me répondaient qu’ils ne m’avaient jamais obligée à le faire. Mais, en fait, je ne demandais pas grand-chose, juste un relai. Du coup, voilà, le fait que je demande de l’aide a été mal interprété.

Au moment de partir, quels sont vos coups de cœur parmi les aventuriers encore dans le jeu ?

Chez les garçons, je dirais Loïc et Dorian et, chez les filles, évidement Lola ou Alexandra.

Merci, Alix, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Un Si Grand Soleil : Jean-François Malet évoque son personnage dans la série à succès de France 2 !

Publié le par Julian STOCKY

Crédits photos : France TV Studio

 

Bonjour Jean-François,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

On peut vous retrouver dans la série à succès de France 2 « Un Si Grand Soleil ». Vous y interprétez le rôle de François Moreillas. Qui est-il ? Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Je suis sur la série depuis deux ans maintenant. Le personnage de Moreillas est arrivé dès la première saison, pour une petite intrigue de deux à trois jours, dans une histoire de pollution où il faisait du traitement de déchets. Il « s’amusait » à les reverser dans un étang. Une jeune fille l’avait surpris, avait fait des photos, avant de mourir. On l’a soupçonné de l’avoir tuée. Sa deuxième apparition était en période de Noel, pour une seule séquence, où un Père Noel venait lui demander des sous. Mais Moreillas l’avait écrasé avec sa voiture. Il est là depuis le début mais je pense que les auteurs attendaient de pouvoir écrire quelque chose de plus conséquent.

C’est un voyou, opportuniste, il n’est pas mauvais, c’est un petit escroc, un escroc de bas étage. Sauf que, quand on voit sa maison et quand on voit ses voitures, on se dit qu’il a quand même dû réussir deux trois mauvais coups pour en arriver là. Ce n’est pas un si petit escroc que ça quand même mais ce n’est pas un grand bandit. Il est un peu entre les deux. D’ailleurs, quand il va se confronter à Elisabeth Bastide, il va perdre donc il n’est pas si bon que cela.

Au moment de l’interpréter, avez-vous ou avez-vous eu des sources particulières d’inspiration ?

Oui mais je ne peux pas citer de noms parce que ce serait malvenu. Mais oui, bien sûr, j’y pense tout le temps, je pense à certaines grandes escroqueries très célèbres.

Quels principaux retours avez-vous pu avoir du public sur votre personnage ?

Il y a trois écoles. Celle des gens qui me connaissent personnellement et qui sont très surpris que l’on puisse me retrouver dans un rôle comme celui-là. Il y a celle des gens qui me connaissaient dans le rôle du brigadier Leroux, plutôt un brave homme. J’ai incarné pendant longtemps un français moyen et ceux qui m’avaient vu dans ce rôle sont à la fois étonnés et contents de me retrouver sous d’autres traits. Et il y a ceux qui ne me connaissaient pas du tout, aficionados de la série, qui ne m’ont pas vu dans d’autres rôles plus sympas. Parmi ceux-là, il y en a vraiment qui détestent mon personnage. Celui-ci a un vrai mauvais côté, il y a quand même une agression sexuelle avec Myriam parce que, qu’on le veuille ou qu’on ne le veuille pas, il la force quand même à coucher avec lui. C’est absolument terrible de faire cela et il y a toute une partie des téléspectateurs de « Un Si Grand Soleil » qui le déteste. C’est assez sympa de voir qu’il y a trois types de réactions de la part du public.

 

Crédits photos : France TV Studio

 

Vous qui vivez cette aventure de l’intérieur, selon vous, quelles raisons expliquent la très belle fidélité des nombreux téléspectateurs ?

Je pense que c’est une très belle série, les images sont de très très belle qualité, les comédiens sont de très très bonne qualité, la musique est belle, il y a une vraie montée en gamme par rapport aux différentes séries qui ont été créées en France. Je pense qu’il y a vraiment une volonté de faire quelque chose de beau.

Ensuite, il y a aussi le fait que les intrigues sont bien écrites. Il y a différentes familles qui, toutes, arrivent à avoir leurs aficionados qui attendent le lendemain pour savoir ce qui va arriver à untel ou untel. Il y a une vraie fidélité aux personnages. Je pense qu’il y a aussi un vrai plaisir à regarder la série.

On le sait, le rythme de tournage sur une quotidienne est particulièrement soutenu. Quelle est votre méthodologie de travail en ce sens ?

Ma méthode de travail est la veille pour le lendemain. Ca a pu affoler certains de mes partenaires de jeu mais j’ai un disque dur qui nécessite d’être effacé au fur et à mesure de l’apprentissage. Je lis les épisodes quand ils nous arrivent, généralement avec une semaine ou quinze jours d’avance, pour regarder ce qui s’y passe. Mais l’apprentissage, pour moi, se fait véritablement la veille pour le lendemain. Si j’apprends le lundi pour le mardi et, ensuite, le mardi pour le mercredi, je suis incapable, le jeudi, de vous dire ce que j’ai tourné le lundi. Je sais que j’avais discuté avec Jean Dujardin qui, lui, est capable de se souvenir de tournages qu’il a fait il y a dix ans. Moi, ça s’efface et, quand je regarde la diffusion, c’est merveilleux car je dois fonctionner comme un poisson rouge, j’oublie que j’ai tourné ces séquences et je les regarde comme si c’était la première fois. C’est très très étonnant mais il y a plein de comédiens comme cela, on est beaucoup.

Que peut-on vous souhaiter pour la suite de cette aventure artistique ?

Je sais ce que l’on a tourné, ça va arriver à son terme bientôt mais, comme je vous le disais, je n’ai pas grand souvenir de toutes les scènes. Ensuite, il faut souhaiter que les auteurs aient envie de faire revenir ce brave Moreillas. En tous les cas, il est dispo et je pense que ça peut être un personnage bien et un type sympa. On a toujours besoin, dans une série, d’un bon voyou, c’est toujours bien.

Merci, Jean-François, pour toutes vos réponses !

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Koh Lanta : Julie, ancienne aventurière, évoque la saison en cours de diffusion sur TF1 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Julie,

Quel plaisir de vous retrouver pour ce nouvel entretien !

La saison de « Koh Lanta » actuellement en diffusion sur TF1 est pleine de surprises et de rebondissements. On se rappelle notamment, dès le début, que les aventuriers ont été répartis en 4 équipes, aux couleurs de leur région. Auriez-vous aimé connaitre cela ?

Ah oui, tout à fait ! Alors là, avec grande joie et grande fierté, ça m’aurait vraiment fait plaisir de représenter la région Catalane. Où j’ai eu d’ailleurs de très bons retours de la part de tous les gens qui y vivent. Donc je serais retournée avec grand plaisir représenter nos belles couleurs sang et or. Cela aurait été une vraie fierté.

Défendre vos terres vous aurait-il donné un élan encore plus grand ?

Oui, oui ! En plus, ils ont la chance de ne pas être tous seuls, ils sont plusieurs à représenter toute une région. Ils doivent se sentir plus forts ensemble. Ça m’aurait vraiment plu d’être avec des gens du Sud. Je vous avoue que, quand on fait une saison classique, on est plusieurs candidats de plusieurs régions dispersées. A Perpignan, je me sens un peu éloignée de tous donc ça m’aurait vraiment vraiment plu et renforcée d’être en équipe avec plein de gens du Sud.

 

 

D’ailleurs, avez-vous retrouvé certaines des valeurs de votre région dans cette nouvelle organisation ?

Par rapport au Sud, il y avait plutôt des gens de Marseille, d’Aix-en-Provence, … Evidemment, j’ai retrouvé l’accent chantant, le soleil, toutes ces belles choses. C’est plutôt là que je me suis retrouvée.

Dans une deuxième phase, les quatre équipes ont été réunies en deux groupes, plus classiquement, les rouges et les jaunes. Comment auriez-vous réagi si, comme Alix, vous aviez alors été capitaine de votre tribu à devoir constituer votre équipe ?

Hum… Si j’avais été élue capitaine, ça aurait été un rôle très difficile, dans le sens où je pense qu’il faut faire des choix stratégiques. A savoir choisir autant des bons sportifs que des belles âmes. Quand on ne se connait pas, c’est un peu compliqué. Je pense que j’aurais laissé parler mon intuition, mon cœur et le feeling. C’est vrai que ça aurait été un rôle un peu dur pour moi mais ça m’aurait renforcé dans mon caractère en tout cas. Mais bon, je suis contente de ne pas avoir été chef d’équipe quand même. Je pense que j’aurais assuré et que j’aurais assumé ce rôle-là, avec plaisir, mais je suis quand même contente de ne pas avoir été à cette place. Je préfère laisser cela, je ne sais pas, à des personnes avec des gros bras et des grosses têtes.

 

 

On se souvient aussi de cette épreuve de confort un peu originale, où trois récompenses différentes étaient en jeu. Notamment un indice pour un collier, une douche avec soins et un énorme burger. Vers quoi vous seriez-vous tournée ?

J’aurais choisi l’hygiène, à savoir la douche et le massage. Et je crois que la personne a quand même eu droit à un petit quelque chose à manger, notamment des fruits. Je trouve que c’était vraiment complet. L’hygiène est quand même très très importante.

Concernant le collier, j’ai eu la chance d’en trouver dans chacune de mes aventures donc, là, je pense que j’ai des aptitudes. C’est vrai aussi que le burger donne des forces mais sachant qu’il y avait également un petit peu de quoi manger après la douche, j’aurais choisi le cocooning généralisé sans hésiterJ .  

De même, plus récemment, comme souvent, deux aventuriers ont eu la possibilité de rapporter un peu de réconfort à leurs camarades, au travers de nourriture et/ou de lettres. Comprenez-vous le choix de n’avoir pris qu’à manger et d’avoir laissé les lettres ?

Je l’avoue, je trouve que, cette année, ils ont fait le très bon choix de ne prendre que de la nourriture. Au moins, il n’y a aucun blessé, aucun désavantagé. C’est un choix très très difficile de se dire ce que l’on fait, pour qui, pour quoi,… Je trouve qu’ils ont tous joué intelligemment, ils se sont apparemment tous mis d’accord avant de partir sur le choix à faire sur place, à savoir la nourriture. C’est très bien, au moins il n’y a pas de peine de cœur.

 

 

Quels sont vos aventuriers coup de cœur pour cette saison ?

J’aime beaucoup suivre cette saison notamment parce qu’il y a les fameuses régions. En plus, un aventurier m’a particulièrement marquée, c’était mon chouchou, à savoir Bertrand-Kamal. Il était mon aventurier préféré, j’aurais vraiment aimé le connaitre. Ça me fend le cœur, plus que cela même, parce qu’il y a pas de mot, qu’il nous ait quitté. Sa perte est remplie d’émotions. Quand j’en parle, j’en ai la voix qui tremble. Je ne l’ai pas connu mais je me voyais un peu en lui, toujours positif, toujours à faire rire les autres, toujours à sourire.

Il reste huit candidats encore en lice. Quels sont vos favoris d’ici à la fin ?

On sait tous très bien que « Koh Lanta » est une émission pleine de rebondissements. Donc, à tout moment, tout peut basculer, tout peut changer. J’avoue que les deux garçons que je vois aller ensemble au moins à l’orientation sont les deux copains Brice et Dorian. Je perçois qu’ils sont forts physiquement et soudés. Après, j’aime beaucoup aussi Loïc, c’est le plus jeune et il est très fort également. Il a un esprit assez sain je trouve, il est tout le temps bienveillant. J’apprécie beaucoup Alexandra chez les filles, parfois elle me fait penser un peu à moi, dans son esprit « wonder woman ». Elle est surprenante, au début on ne misait pas trop sur elle et elle est encore là. J’aimerais bien que ces quatre personnes soient à l’orientation.

 

 

Cette nouvelle saison en cours de diffusion vous remémore-t-elle, une nouvelle fois, certains souvenirs bien particuliers de vos aventures ?

Oui, c’est vrai qu’il y a des flashbacks. Notamment l’épisode des binômes ce vendredi. Ça me fait penser au binôme que j’avais fait, en 2016, lors de ma première saison, avec Freddy. Nous n’avions pas gagné l’épreuve des yeux bandés mais il m’avait fait beaucoup rire à ce moment-là. J’avais encore les yeux bandés et il m’avait dit : « bon, Julie, on est les derniers mais comme c’est ta devise, on va aller jusqu’au bout, on va se battre ». A chaque fois que je regarde une saison et que je vois les épreuves en binôme, ça me fait penser à ça. C’est un petit flashback nostalgique.

Pour terminer, plus personnellement, quels sont vos projets actuels ?

Toute ma vie est en train de changer, c’est un nouveau départ pour moi. J’ai divorcé, je m’entends très bien avec mon ex-mari mais je ne suis donc plus assistante dentaire. Je suis en train de m’offrir une formation à distance qui me mènera, j’espère, vers le métier de spa praticienne. Avec des massages de bien-être en thalasso. Cette période de confinement et de crise sanitaire m’a permis de réfléchir sur mes envies de projets de vie. Je me suis dit que, puisque j’aime faire plaisir aux gens et les rendre heureux, j’allais m’orienter vers un projet professionnel de bien-être. En donnant du bonheur aux gens, via les soins de bien-être.

Sur le plan personnel, j’espère rencontrer l’amoureux qui me donnera ce bonheur d’avoir un enfant. J’ai encore des rêves à réaliser, mon projet est d’être une femme épanouie, accomplie et, pourquoi pas, de faire un troisième « Koh Lanta ». Ce sont bientôt les vingt ans, je ne sais pas s’ils m’appelleront mais pourquoi pas.

Merci, Julie, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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Koh Lanta : Jody se remémore son parcours aux Fidji !

Publié le par Julian STOCKY

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Bonjour Jody,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous avez été éliminée lors de l’épisode de vendredi dernier de « Koh Lanta », actuellement en diffusion sur TF1. Comment avez-vous vécu la diffusion de ces images précisément ? Ont-elles ravivé en vous certaines émotions vécues à ce moment-là ?

J’étais hyper contente de revoir cet épisode. Puisque l’on me voit plusieurs fois en activité, que ce soit en épreuve avec Dorian ou alors après. Forcément, oui, ça remémore des souvenirs, ce sont de bons moments passés. Cette épreuve avec Dorian est une belle victoire aussi. J’étais très contente de revoir ces images.

Au début de l’épisode, on a pu vous voir, avec Dorian, tenter de rapporter un maximum de réconfort (pour le ventre ou le cœur) à vos camarades. Comment cela s’est-il passé ?

Spontanément, je me suis présentée volontaire. En plus, c’était en binôme et Dorian s’était présenté lui aussi donc, tant qu’à faire, autant être à deux oranges. J’avais aussi envie de montrer que j’étais capable de partir sur une épreuve en dehors de celles d’immunité ou de confort. En plus, j’avais confiance en Dorian, on se connait très bien depuis le départ, ça ne pouvait que fonctionner.

En amont, sur l’ile, avec tous les aventuriers, on avait déjà établi un petit vote de ce qu’on devait ramener en priorité et on avait tous voté pour la nourriture. Il s’est avéré que l’on a eu le nombre d’amulettes qui correspondait au nombre de cases de nourriture, comme cela c’était parfait, on ne faisait pas de jaloux, on ne ramenait le courrier à personne, il n’y avait pas d’avantage pour certain, on était tous contents d’avoir de la nourriture.

Lorsque vous arrivez au conseil, dans quel état d’esprit êtes-vous ? Plutôt sereine ? Ou en fort doute ?

Je n’étais pas si sereine que cela avant le conseil. On a vu qu’il y a eu un énorme clash sur le camp où tout le monde commence à douter de tout le monde, où ça part un peu en cacahuète, où on ne sait pas trop ce qui se passe, où tout le monde se pose des questions. Mon nom était déjà sorti de toute façon sur des conseils précédents donc on se dit toujours qu’il y a une possibilité qu’il ressorte. De toute façon, vu ce qui s’était passé sur l’ile, on était tous incertains, vraiment, de ce qui allait se passer, on imaginait que notre nom pouvait sortir forcément mais, après, on a toujours espoir que les votes ne soient pas contre nous.

Quelle a été votre réaction au moment où Angélique a sorti son collier d’immunité ? Vous y attendiez-vous ?

En fait, je ne savais pas pour qui étaient les votes. Donc c’était un peu brouillon, on ne savait pas vraiment quels noms allaient sortir aussi sur les bulletins, s’il allait y en avoir que deux, ou trois, ou quatre… Surprise, oui et non, puisque de toute façon, on savait que Lola avait peut-être (ou pas) trouvé son collier d’immunité. Comme elles étaient en binôme toutes les deux, si Lola avait effectivement trouvé son collier, elle avait forcément envie de protéger Angélique, son amie. Après, c’est le jeu du collier….

Comprenez-vous les quatre votes contre vous ?

A froid, oui. De toute façon, à un moment donné, il faut mettre un nom. Avec Lola et Angélique, on n’avait pas plus d’affinités que cela. Comme elle le dit elle-même, j’étais protégée, j’avais beaucoup d’alliés sur le camp, surtout dans les garçons. Je ne pensais pas faire peur à Lola sur ce point donc ça m’a un petit peu surprise aussi. Alix met mon nom, elle aurait pu mettre celui de Fabrice mais elle ne l’a pas fait. Voilà, c’est comme ça.  

 

Crédits photos : Laurent Vu/ ALP /TF1

 

Plus généralement, que retenez-vous de votre aventure ? Quels resteront vos plus beaux souvenirs ?

Les plus beaux souvenirs sont surtout cette aventure que l’on a tous vécue ensemble, le fait de partir à l’aventure avec des inconnus et de se lier d’amitié avec des gens au fil du temps. Je pense que c’est l’une des plus belles expériences que j’ai pu vivre là-bas. Etre dans l’inconfort total et, en fait, se satisfaire du peu que l’on avait. On était ensemble et le fait de partager des choses ne nous rendaient pas malheureux mais heureux quand même. On partageait de bons moments.

Etes-vous aussi malchanceuse dans la vie que sur l’aventure, où vous avez tiré trois fois consécutivement la boule noire ?

Normalement non, même si je joue rarement aux jeux d’argent. Coup du sort, trois boules noires… Après, c’est le jeu sur « Koh Lanta », on sait qu’il y a des boules noires, on sait que l’on a une chance au moins d’en tirer une… ou pas. Est-ce que c’était un coup du sort sur les oranges ? Puisque Diane avait fait exactement la même pendant l’aventure. Je ne sais pas, c’est comme ça….

Quelle place, quel rôle aviez-vous sur le camp ?

Sur le camp, tout au long, que ce soit avec Diane au départ, Marie-France ou bien Alexandra, on allait surtout à la cueillette chercher du manioc ou de la coco, enfin de quoi manger. On a toujours été dans les bois pour ramener de l’eau et essayer de trouver à manger de cette manière-là, vu que l’on n’arrivait pas à pêcher.

D’ailleurs, je n’ai pas remangé de coco depuis que je suis rentrée. Je pense que mon corps ne s’y habitue plus. Ça m’a rendu malade… A date, ça ne me donne pas envie.

A titre plus personnel, qu’est-ce qui a été le plus compliqué à supporter pendant vos 29 jours d’aventure ?

Je pense que ce qui a été vraiment le plus compliqué, c’est le manque de nourriture et, du coup, par la suite, le sommeil. Puisque l’on consommait plus d’énergie qu’on en emmagasinait. Les nuits étaient assez rudes pour dormir sereinement, sans finir en grelots.

Lorsque vous avez retrouvé une partie de vos camarades dans la résidence du jury final, en avez-vous profité pour vous remémorer votre aventure voire même pour mieux comprendre certaines décisions ?

Du tout ! Pour moi, l’aventure sur l’ile était finie, c’était plus un soulagement de partir parce qu’il n’y avait plus cette espèce de pression que l’on avait tous les jours, dès le matin en se réveillant, à savoir comment allait se passer la journée, s’il allait y avoir des stratégies, si notre nom allait sortir ou non. En fait, quand j’ai retrouvé le jury final, on parlait forcément de ce qui s’était passé sur l’ile quand eux n’y étaient pas mais on avait davantage plaisir à se découvrir. Quand je suis arrivée, c’étaient pratiquement que des anciens rouges et, en tant qu’ex jaune, je ne les connaissais pas. On a plus appris à se connaitre et à partager encore plus.

Au moment de partir, qui sont vos coups de cœur parmi les aventuriers encore dans le jeu ?

Brice, Dorian, qui sont de l’équipe de l’Ouest et ma petite Alexandra. J’espère qu’ils iront le plus loin possible.

Merci, Jody, pour toutes vos réponses !

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Ici tout commence : Sarah Cheyenne Santoni nous présente son personnage dans la nouvelle série de TF1 !

Publié le par Julian STOCKY

crédit photo : ©Fabien Malot/ITC/TF1

 

Bonjour Sarah Cheyenne,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous faites partie du casting de la nouvelle série de TF1 « Ici tout commence ». Comment présenteriez-vous ce programme ?

C’est la nouvelle série quotidienne diffusée juste avant « Demain Nous Appartient » et les deux séries sont liées par leurs personnages. On retrouve des personnages que l’on a déjà vus dans DNA, comme celui de Clément Remiens, Frédéric Diefenthal et Vanessa Demouy. Mais aussi des nouveaux personnages qui sont arrivés récemment, celui de Julie, Luccia, Azize, Salomé, Benjamin et celui du  grand Francis Huster. Elle se déroule principalement dans le village de Calvières dans lequel se trouve l’institut Auguste Armand. Celui-ci ouvre ses portes pour une nouvelle année. Plusieurs élèves vont venir passer le concours pour intégrer (ou pas) la première année, quand d’autres rentrent en deuxième année. Tout le monde se croise dans ce château, donc c’est la rencontre entre professeurs et élèves, entre familles et amis. Presque tout tourne autour de cette école.

Avec vos propres mots, quelles sont les principales caractéristiques de votre personnage ? Qui est Elodie ?

Mon personnage est malvoyant. Mais c’est avant-tout (pour moi) une jeune fille déterminée, qui n’a pas envie de se laisser marcher dessus ou de se rabaisser (vis-à-vis de son handicap).
C’est une jeune fille pleine de rêves, pleine d’espoirs et qui, malgré son handicap, se montre très volontaire, très autonome. Elle fait preuve aussi de bienveillance vis-à-vis des autres afin qu’ils le soient également envers elle. Néanmoins, elle a 19 ans, donc elle a ses envies, sa part d’innocence, son impulsivité d’ado. Elle veut intégrer une grande école de gastronomie française et elle fera tout pour y trouver sa place.

Au moment de l’interpréter, avez-vous eu des sources particulières d’inspiration ?

Je n’avais pas envie de m’inspirer d’un comédien ou d’une comédienne qui interprétait un malvoyant ou une malvoyante. Parce que, pour moi, c’était leur propre interprétation de leur personnage et du handicap. Je ne voulais pas m’inspirer de la façon dont quelqu’un d’autre joue, pour défendre mon rôle. J’ai préféré me fier à mes sens, je me suis entrainée à travailler à l’aveugle, à cuisiner à l’aveugle, à marcher avec une canne fournie par le service accessoires. Après, j’ai tout simplement contacté des personnes qui sont, dans la vie, malvoyantes. J’ai préféré m’inspirer de personnes qui vivent ce handicap au quotidien. J’ai préféré aller chercher dans le réel. Pour moi, les premières personnes à convaincre vis à vis de mon personnage, le premier « public », c’est celui des accompagnants et des personnes qui vivent avec des malvoyants. J’espère qu’ils reconnaitront leur situation.

Même si ce n’est jamais évident à dire, selon vous, qu’est-ce qui plaira aux téléspectateurs dans ce nouveau programme ?

D’un point de vue visuel, j’espère que les décors vont plaire aux téléspectateurs comme ils nous ont plu. Ça nous enchante de tourner dans le château de Saint-Laurent d’Aigouze, de tourner à Aigues-Mortes aussi. C’est incroyable de tourner dans des décors comme ceux-là. J’espère que le public sera autant séduit que nous.

J’espère aussi que notre interprétation, notre jeu, notre façon de jouer ensemble va plaire. J’espère que l’on va pouvoir vite s’attacher à nos personnages. Et que le public ressentira l’amitié qui nous habite en chacun et chacune, depuis le premier jour où on s’est tous rencontrés. Nous sommes une palette de comédien(ne)s et de personnages très différents, c’est assez incroyable. C’est ce qui fait la complexité de cette série et c’est ce qui m’a séduite à la projection des premiers épisodes. Je suis très fière d’être de faire partie de cette grande famille.

D’un point de vue scénaristique, le public n’est pas prêt de s’ennuyer. Ils sont très forts les auteurs pour ça, à la fin de chaque épisode, on a hâte de voir le prochain. Donc entre mensonge, trahison, histoire d’amour, vengeance, etc, on espère qu’il y aura assez d’ingrédients pour faire monter l’envie du public de continuer à visionner la série tous les soirs et donc de rester avec nous.

On le sait, le rythme de tournage sur une quotidienne est soutenu. A ce titre, avez-vous une méthodologie particulière de préparation pour, ensuite, être aussi efficace que possible sur le plateau ?

Dès que l’on peut, avec mes partenaires de jeu, on essaye de travailler en amont les séquences.
Je fais partie des personnes qui, pour vraiment bien connaitre la scène et ses enjeux, ont besoin d’entendre le texte. Donc j’ai besoin d’un(e) partenaire de jeu pour connaître mon texte. On a la chance aussi d’avoir un coach sur le plateau, Pascal Barraud, qui est comédien, et des répétiteurs(trices). Du coup, c’est agréable de pouvoir travailler les séquences avec eux.
J’ai besoin de connaitre mon texte et, une fois que je le connais, je peux encore mieux réfléchir à l’enjeu de la séquence. Pour être libre avec mes partenaires et être davantage disponible pour les différentes intentions demandées par la réalisation et la production. C’est important de travailler en amont les séquences, surtout que, dès fois, ce sont 3 à 4 pages de texte.

C’est important pour ma part en tout cas, d’autant plus que j’ai souvent des déplacements un peu particuliers, je dois marcher avec la canne, je dois être très sensible au toucher et à l’ouïe. Vu que j’ai toutes ces particularités-là et que je dois aussi me concentrer sur mes gestes et mouvements, si je ne connaissais pas mon texte, je m’emmêlerais un peu les pinceaux.

C’est vrai que c’est un rythme particulier mais, au final, quand on arrive à trouver le sien, c’est du « gâteau ».

A l’aube de cette nouvelle aventure, que peut-on vous souhaiter ?

Que le public soit au rendez-vous bien sûr ! Que l’on puisse avoir des audiences valorisant le travail fait par toute l’équipe. Nous, on travaille sur la série depuis mi-juillet, mais certain(e)s travaillent dessus depuis des mois ! Ils ont sûrement hâte d’avoir le retour du public. Je suis sure que les téléspectateurs seront présents. Je nous souhaite vraiment de la bienveillance de la part du public. Car malgré la crise sanitaire que nous traversons, nous devons continuer à faire exister le divertissement et la fiction est un bon ingrédient pour s’évader un-peu du réel…

En parallèle, quels sont vos autres projets et actualités artistiques ?

J’ai commencé à tourner la cinquième saison de « Tandem », dans le rôle d’Alice toujours. J’ai aussi pu écrire un court-métrage que j’ai, dans la foulée, tourné. C’est un court-métrage qui traite du harcèlement scolaire et il sera en ligne le 5 novembre, journée de lutte contre le harcèlement scolaire. Encore un projet engagé… et ce n’est pas le dernier.

Merci, Sarah Cheyenne, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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