Fort Boyard : Carinne Teyssandier évoque sa nouvelle participation à l'émission emblématique de France 2 !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Carinne,

Quel plaisir d’effectuer cette interview avec vous !

Vous partez, samedi 14 août prochain, à l’assaut du fort pour la deuxième fois. On imagine, à titre personnel, le plaisir et la joie que ce doit être de participer à nouveau à cette émission emblématique et mythique de France 2 ?

Oh oui, emblématique et mythique, elle l’est, à n’en point douter. Je regardais ça quand j’étais petite, aujourd’hui c’est ma fille qui ne loupe pas une miette et j’avoue avoir toujours autant les pétoches à chaque fois que j’arrive dans ce fort, ne sachant pas du tout à quelle sauce je vais être mangée. Mais, voilà, rien que pour voir les yeux de ma fille briller, ma motivation est décuplée, vraiment.

D’ailleurs, que représente, pour vous, ce programme ? Quels souvenirs aviez-vous des émissions que vous regardiez ?

J’avoue que j’étais fan des énigmes du Père Fouras. Pour moi, c’était ça surtout le clou du spectacle, j’adorais résoudre les énigmes avec une grande fierté avant même que le candidat n’ait pu donner sa réponse. Ce que je n’ai pas du tout fait lors de ma dernière participation, cette année…on n’a pas trouvé l’énigme, alors qu’on l’avait trouvée en répétition. Au brief, on était tous brillants mais, le moment venu, on est complètement passés à côté.

 

 

Le fait d’avoir déjà participé au programme permet-il de mieux l’appréhender ? Ou, à l’inverse, le fait d’avoir déjà connu l’impact de certaines sensations augmente-t-il l’appréhension ?

Non, c’était plus rassurant qu’inquiétant parce que la première fois, c’est quand même vraiment le baptême du feu, vous ne savez pas du tout comment se déroule la journée de tournage, c’était vraiment le grand saut dans l’inconnu. Mais c’était une journée très agréable parce que l’équipe était super. Gérard Vives était vraiment un coéquipier de qualité, très sportif, très généreux donc on était vraiment bien. Pour la deuxième fois, les épreuves n’étaient pas du tout les mêmes, vous savez que, chaque année, le fort se réinvente donc je ne savais, pour le coup, pas du tout ce que j’allais devoir faire.

Avez-vous certaines peurs, qui vous faisaient craindre plus particulièrement certaines épreuves ?

Le restaurant de Willy Rovelli…cette année, il n’existe plus en tant que tel mais, évidemment, je me suis quand même retrouvée, je ne sais pas comment je me débrouille, à manger ses spécialités. Et puis, je les redoutais sans les redouter, les sauts dans le vide. C’est tellement un défi sur soi-même.

 

 

A l’inverse, en attendiez-vous d’autres avec une certaine impatience ?

Je ne suis pas sûre que l’on ait envie de se jeter sur les épreuves de « Fort Boyard »…Non, il n’y avait pas vraiment d’épreuve, à part le saut à l’élastique, où c’est vraiment extrêmement paralysant mais, lorsqu’on réussit à le faire, c’est extrêmement fort, c’est un vrai souvenir assez incroyable…mais je n’ai pas eu à faire cela.

Un mot sur la « Fondation Frédéric Gaillanne » que vous défendez ? On peut penser que c’est une source supplémentaire de motivation pour vous et toute l’équipe ?

Complètement ! En plus, pouvoir offrir, à des enfants déficients visuels, des chiens guides d’aveugle est une motivation incroyable. Dave, qui est le parrain, nous a bien expliqué toute l’histoire de cette fondation et, bien sûr, que l’on a envie d’aider ces enfants. On se donne à fond, à fond, à fond.

 

 

Une fois que les caméras ont commencé à tourner, quelles sensations ont prédominé en vous ?

La joie, franchement. La joie d’être de nouveau sur le fort, la conscience d’être dans un moment privilégié parce que l’ouverture au fort est extrêmement réduite. La conscience d’être dans un moment unique, la joie d’en profiter. La joie de revoir Olivier Minne, que j’adore. La joie de découvrir cette équipe avec qui j’ai co-combattu les épreuves. La joie de rencontrer de nouvelles personnes. C’est humainement très enrichissant, c’est intense, c’est fatiguant, c’est fort en émotions mais ça laisse un souvenir incroyable.

On peut penser, à la vue des partenaires qui vous accompagnent, que l’ambiance était, malgré les craintes et les peurs de certaines cellules, plutôt joyeuse ?

Oui, oui, absolument, elle est très chaleureuse. Déjà parce que l’on est tous contents d’être là. On est contents de se rencontrer les uns les autres, parfois on se voit à la télé mais sans forcément se connaitre. Donc faire de nouvelles rencontres est toujours extrêmement agréable. On est tous hors zone de confort donc on est tous vraiment logés à la même enseigne, il y a une vraie solidarité, une vraie envie de bien faire, voilà une envie de passer des moments uniques, de s’amuser. C’est vraiment très enrichissant.

 

 

Sans rien en dévoiler, quel principal souvenir gardez-vous du tournage ?

J’allais dire que ce qui m’a le plus marquée, c’est presque une histoire de coulisses. Cette année, il y a une deuxième partie de soirée, qui n’existait pas lors de ma première participation. En fait, de voir le fort allumé, illuminé comme cela la nuit, avec ces grands bacs de flammes, c’était sublime. Vraiment, l’éclairage était magique, on avait l’impression d’être ailleurs, dans un autre temps, c’était complètement dépaysant et cette ambiance comme cela, du fort la nuit, était assez incroyable. Vraiment, cela m’a marquée.

Avec le recul, selon vous, quelles sont les principales caractéristiques nécessaires pour être une bonne candidate sur « Fort Boyard » ?

Avoir envie, c’est la base de tout. Avoir envie d’être là, de se faire plaisir, de se dépasser… ne pas avoir peur du ridicule, c’est important…y aller à fond, il n’y a pas de demi-mesure, il faut être entier et avoir envie, c’est vraiment essentiel, il faut être content et heureux d’être là, de participer à cette émission.

Si l’occasion se présente à nouveau, on vous imagine prête à repartir sur le fort ?

Sans hésitation, oui, je fonce, je fonce, pour vivre d’autres aventures, pour rencontrer d’autres personnes, pour partager d’autres moments. Ah oui, oui, je fonce sans hésiter, je suis volontaireJ

Merci, Carinne, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision

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