N'Oubliez Pas Les Paroles : Elodie évoque sa belle et riche actualité, sur scène, en studio et à l'antenne !

Publié le par Julian STOCKY

 

Bonjour Elodie,

C’est toujours une joie de vous retrouver pour une nouvelle interview !

Cette année 2022 est marquée notamment par votre participation à deux tournées musicales, dans des contextes différents. A titre personnel, on imagine sans doute le plaisir et la joie que cela doit être pour vous ?

Oui, en effet, il y a eu deux types de spectacles. Les concepts de ces deux spectacles sont bien différents et j’insiste beaucoup là-dessus. En février, on a commencé par une tournée caritative, qui est totalement indépendante de « N’oubliez pas les paroles », qui réunissait des amis qui se sont rencontrés grâce à l’émission et qui, en dehors de l’émission, ont continué à chanter ensemble pour le plaisir et pour les assos. Ça marchait tellement qu’il y a eu plusieurs dates qui se sont enchainées. En février, on s’est donc retrouvés entre amis qui se sont rencontrés à « N’oubliez pas les paroles » à faire des concerts de variété française et internationale, où on s’est mis à chanter, à danser. C’étaient des concerts sur bande son, parfois dans des petites salles, le but étant de répondre souvent aussi aux demandes des gens qui nous contactent sur les réseaux en nous disant « mais vous ne venez jamais dans les petites villes à tel endroit » donc on a été se perdre dans des jolis coins de France, c’était très mignon. C’était la première fois que j’ai vécu une tournée, finalement, ambiance tour-bus, à vivre ensemble pendant une dizaine de jours et à aller de salle de spectacle en salle de spectacle. Chaque étape était hyper enrichissante, demandait à ce que l’on s’adapte, qu’on innove dans la gestion de l’espace, du temps. Donc ça a été de très belles rencontres. A la fin de ces spectacles, on prenait toujours le temps d’aller rencontrer le public qui souhaitait discuter avec nous, on faisait les dédicaces, c’étaient de beaux moments de rencontre. Cette tournée a aussi été humainement quelque chose de très fort pour moi, j’ai vécu avec des amis, il y avait une ambiance de colonie de vacances qui était très forte. Nous n’étions pas si nombreux que cela et, dans des tournées comme celle-ci, on sympathise avec tout le monde, on n’est pas qu’entre chanteurs, on est aussi proches des techniciens que de l’habilleuse, que de la productrice. Ce sont des beaux liens humains qui se créent. Je garde de cette première expérience un très très beau souvenir.

Ensuite est arrivée une autre aventure dans ma vie, un peu plus tard, la tournée officielle « N’oubliez pas les paroles ». Là, le concept n’a rien à voir, déjà il s’agit uniquement de variété française et on est sur le jeu en grandeur réelle. Donc on a un karaoké géant, on est dans des salles de spectacle géantes, tout est géant, on a un public immense, ce sont des milliers de personnes et on a un décor gargantuesque. Les musiciens de l’émission sont là, le spectacle est animé par Magalie, il y a des chansons, souvent ce sont de medleys pour aller chercher le plus connu de la variété française, le but étant de faire chanter tout le public que l’on a face à nous. Ces chansons et ces medleys sont interrompus par le jeu, où on invite des personnes que l’on a vu chanter à pleine voix dans le public, une d’entre elles choisit le maestro qu’elle souhaite affronter, sur une même chanson. Après, le spectacle reprend et, un peu plus tard, un nouveau candidat arrive. Donc on est vraiment sur une ambiance de jeu, sur un énorme spectacle avec de sacrés musiciens en live et sur la scène, il y a un double écran avec les paroles affichées, de sorte que, tout au long du spectacle, on n’entende presque plus nos voix, tant on est ensevelis par les cris du public. Il y a beaucoup d’humour, beaucoup de dynamisme, de lumière, de paillettes, on est sur un show qui en envoie plein les yeux. Donc c’est complètement différent de cette ambiance plus intimiste que l’on avait dans notre tournée caritative et les sources de plaisir sont différentes du coup. Parce que, sur ce projet-là, je n’ai pas fait une tournée entière, j’ai été invitée sur trois dates, à Roanne, au Zénith de Lille deux jours plus tard et on terminait à l’Olympia deux semaines plus tard. Sachant que, à Paris, je suis montée sur scène une dizaine de minutes en cours de spectacle et on s’est tous retrouvés sur la chanson finale. Donc je ne l’ai pas vécue comme une tournée, même si c’en était une. Mais c’est vraiment à titre personnel car il y a eu des maestros qui ont fait toutes les dates, comme Caroline ou Hervé, qui ont vraiment vécu cet esprit de tournée. Moi, je l’ai moins vécu comme tel, humainement j’ai fait plein de belles rencontres, elles n’ont pas perduré durant dix jours de suite mais elles étaient quand même très très belles. J’ai aussi pu revoir les musiciens dans un autre contexte que l’émission, j’ai pu m’amuser avec les copains sur de belles scènes.

Par contre, en termes d’expérience, j’en retiens un frisson incroyable de la rencontre avec un public nombreux. Ça fait maintenant cinq ou six ans, je ne sais plus, que j’ai la chance de pouvoir faire des concerts, je pense que, avant cette tournée-là, le plus grand public que j’avais rencontré était d’un peu plus de 1 000 personnes à Argelès sur Mer, j’avais eu une petite boule au ventre à ce moment-là, je m’étais dit que ça faisait beaucoup et puis, en fait, j’ai retrouvé ce trac au Zénith de Lille. Je me souviens, on était dans le noir, on n’était même pas encore montés sur scène que les spectateurs bourrinaient des pieds, hurlaient, sifflaient, tapaient des mains, le sol tremblait de toutes ces vibes d’impatience de la part du public qui nous attendait. Je me suis dit « c’est pour nous tout ça ? » et là, il y a un trac qui est revenu de « waouh, c’est beaucoup-là, on entend qu’il y a du nombre derrière tout ce bruit et toutes ces vibrations ». Cela m’a fait ressentir des sensations que je n’avais pas ressenties depuis longtemps quant au trac par rapport à une grande foule. C’est vraiment un frisson que je n’oublierai pas, les battements de cœur juste avant le premier coup de batterie du générique de « N’oubliez pas les paroles » au Zénith de Lille, ça m’a envahi la poitrine, vraiment, j’ai eu une sensation très très intense que je n’oublierai jamais. Je pense que c’est aussi lié à la chaleur du public du nord J J J.

J’ai aimé être sur scène, je ne voulais plus en descendre, je suis heureuse d’avoir fait ce que j’ai fait, j’ai pris un maximum de plaisir en ayant bien conscience que c’est quelque chose qui ne m’arriverait pas plusieurs fois dans la vie. Donc j’ai bien savouré, sur les trois dates, même à l’Olympia où je ne suis pas restée longtemps sur scène. Car qui n’a pas rêvé, un jour, de chanter à l’Olympia ? C’est une expérience magnifique et j’ai bien conscience de la chance que j’ai d’avoir pu vivre tout ça. On verra, c’était la première partie de la tournée officielle et la deuxième commencera pour moi à Reims.

Du coup, en troisième étape de mon calendrier bien chargé cette année, il y a eu une tournée caritative cet été, dont le concept a évolué. Cette tournée n’a pas réuni uniquement les chanteurs de « N’oubliez pas les paroles », ça a été ouvert aux différents artistes issus d’émissions sur la chanson. Donc on a, cet été, chanté avec des candidats de « The Voice », des candidats qui ont marqué « Nouvelle star », des candidats qui ont fait « l’Eurovision ». Du coup, on a complètement étendu l’horizon des chanteurs, d’une part pour diversifier encore plus ce spectacle, d’autre part pour élargir également le public touché. Le public de « The Voice » par exemple n’est pas du tout le même que celui de « N’oubliez pas les paroles ». Aussi pour nous permettre de faire de belles rencontres artistiques parce que l’on avait beaucoup à apprendre de gens dont le talent n’est pas forcément la mémoire mais, avant tout, les performances vocales et d’interprétation. Donc on est partis sur ce concept cet été, toujours en mode tour-bus, toujours avec des chorégraphies, toujours avec des costumes, toujours avec de la variété française et internationale mais avec une diversité d’interprètes encore plus grande. On a enchainé seize dates de concert, à cheval sur juillet et août, on a fait beaucoup de villes côtières, on a été dans les montagnes françaises, on a fait les Vosges, le Jura, les Pyrénées, c’était aussi une expérience incroyable, avec un défi personnel de tenir physiquement. Je sais que, à la fin de ce spectacle, j’ai une note puissante et haute à aller chercher, il fallait à la fois être heureuse de vivre tout cela et pouvoir savourer chaque moment mais, à la fois, être raisonnable pour pouvoir tenir le rythme physiquement.

C’est vrai que, le soir, quand il est une heure du matin, que l’on vient de mettre la valise dans la voiture, on a envie de rire et de s’amuser avec les copains parce qu’on a eu des délires pendant le spectacle, que personne n’a vus ou parce qu’on a envie de débriefer mais, souvent, je me faisais violence, à essayer d’aller me coucher le plus vite possible. Parce que, d’une part, le lendemain, il fallait se lever pour enchainer la même chose et d’autre part, dormir dans un bus n’est pas aussi reposant que de dormir dans une chambre d’hôtel ou dans son propre lit. Donc ça signifie aussi que chaque heure de sommeil est très précieuse pour pouvoir assurer le lendemain. Donc, voilà, un vrai défi personnel de performance physique, de performance vocale et de flexibilité, d’adaptabilité. Puisque, un jour, untel arrivait, le lendemain un autre repartait donc je reprenais sa chanson. Tous les jours, le spectacle changeait en fonction des arrivées et des départs donc ça demandait aussi une certaine adaptabilité puisque je ne chantais pas forcément les mêmes chansons tous les jours. Je reviens de cette tournée, c’était vraiment fabuleux, j’en ai encore des étoiles dans les yeux.

 

 

Votre été a également été intense en révisions, en prévision du tournage de l’édition 2022 du tournoi des Masters de « N’oubliez pas les paroles »…

C’est ça ! Effectivement, les masters se préparent, les tournages sont prévus pour septembre. On va dire que j’ai deux semaines de révision intense pour pouvoir m’y préparer. A chaque fois, d’année en année, je me dis qu’il faut que je m’y prenne plus tôt dans mes révisions et, en fait, en réalité, je m’y prends de plus en plus tard. Tout au long de l’année, j’écoute de nouvelles chansons que je vois apparaitre à l’émission, sans forcément me forcer à les apprendre par cœur mais, au moins, les apprivoiser si elles tombent dans la première manche. Au dernier moment, je révise la fameuse épreuve des mêmes chansons. Comme il y en a de plus en plus, il faut que je travaille encore plus. Là, effectivement, comme j’ai très peu de temps avant ma date de tournage, je révise de manière extrêmement intensive parce que je n’ai pas été très sérieuse en révision sur le reste de l’année.

Les deux éditions précédentes, vous concernant, ont été plus compliquées que celles d’avant. Face à cela, quels sentiments avez-vous ? L’envie d’effacer ces souvenirs ou la crainte qu’ils ne se reproduisent ?

Sur le vif, quand on vit un échec, surtout moi qui suis très perfectionniste, c’est douloureux, l’estime prend un coup. En même temps, je n’arrête pas d’expliquer cela à mes élèves, et je le pense, chaque erreur, chaque échec est un moyen d’apprendre autre chose. On n’apprend pas que par la réussite, on apprend par l’échec aussi. Il y a deux ans, en plus, j’ai perdu au premier tour à cause de moi, contre moi-même. J’ai été mon propre ennemi. Même si Mickael que j’affrontais à l’époque était excellent, j’avais des chances de réussir aussi mais le stress m’a complètement envahie et aucune parole ne m’est revenue sur une chanson que je maitrisais. Donc, pour l’année suivante, j’ai travaillé beaucoup plus le psychologique, j’ai commencé la méditation, j’ai commencé le yoga, beaucoup de pratiques que, jamais, je n’aurais imaginé faire il y a quelques années parce que, pour moi, c’était une perte de temps, ce n’était pas actif, ce n’était pas productif. Il fallait que j’agisse, que je bouge et je me suis rendue compte que l’on a beau avoir autant de connaissances que l’on veut, si on n’est pas capable de les sortir au bon moment parce que l’on ne travaille pas le mental, on a bossé en vain. J’ai donc travaillé davantage mon mental.

L’année dernière, je suis mal tombée sur les chansons, clairement je suis tombée sur des chansons assez rares et je suis tombée sur un candidat extrêmement préparé, qui a fait zéro faux pas. Là, pour le coup, je ne peux pas m’en vouloir de quoi que ce soit. A refaire, j’aurais refait la même chose, de toute façon. Je me suis quand même demandée ce que j’allais retirer de mon échec, c’est plus compliqué quand il ne dépend pas de soi, j’ai retenu quand même que, en fait, ce n’est qu’un jeu et les sacrifices que je fais, c’est moi qui les décide, personne ne me les impose. En fait, tous ces choix que je fais, c’est aussi à moi de les assumer et les assumer, ça veut dire aussi de toujours penser dans un coin de la tête que l’on peut le faire mais que ça peut être pour rien. Je vais le faire parce que j’ai cette gagne en moi, j’ai cette volonté de vouloir toujours essayer le maximum pour ne rien regretter mais c’est un jeu. Et il y a un tirage des chansons, qui n’est pas toujours en ma faveur, qui plus est, je suis en bas du classement, ce qui signifie que, si on venait à être ex-aequo, c’est celui qui est le mieux placé de toute façon qui gagne. Donc il y a des choses que je ne peux pas maitriser. C’est ce que je retiens de l’année dernière. En fait, j’ai toujours envie de retenir quelque chose de mes échecs, j’en ai vécus deux successifs, suite à une très belle aventure, à mon heure de gloire l’année précédente. Donc je suis tombée du grenier à la cave, pour le coup. Ca a fait mal mais j’en apprends des choses, j’en retiens des choses. Aujourd’hui, ces deux échecs me permettent, d’une part, de continuer à travailler mon mental. Je parlais de méditation, je fais aussi des écoutes hypnotiques pour me donner des objectifs et travailler ma concentration. D’autre part, l’autre échec me permet de retenir que tout n’est pas forcément maitrisé parce que c’est un jeu dans lequel il y a une part de chance et qu’elle n’est pas tout le temps là. Donc je me prépare aux deux possibilités, la victoire comme l’échec et s’il y a échec, il y aura d’autres choses positives à aller chercher à la place. Il faut que je me raccroche aux choses positives dans les deux cas.

En tout cas, à titre personnel, ce doit sans doute être une joie et un plaisir de retrouver le plateau et l’équipe, ainsi qu’une partie de vos amis maestros ?

Effectivement, c’est vrai que c’est un beau moment de retrouvailles. On voit moins les musiciens sur le plateau, on les fréquente moins, on n’est pas dans les mêmes loges par souci d’impartialité vis-à-vis du jeu. Ils ont les partitions des musiques qui vont tomber donc si on est ensemble dans les loges, il y aurait un souci, clairement. Mais je suis heureuse de les revoir quand même, on partage de belles choses sur le plateau. Je suis heureuse de retrouver ce lieu qui m’a proposé tellement de sensations, de vibrations, d’émotions, c’est un peu comme un pèlerinage de revenir-là, de retrouver ce lieu qui m’a tant fait vibrer. C’est une fierté de me dire que j’y suis depuis 2016, de pouvoir y retourner à chaque fois, oui, j’en suis fière. C’est un plaisir aussi de retrouver les copains. Après, je ne vous cache pas que l’on est quand même plus détendus quand on se retrouve en concert parce qu’il n’y a pas de compétition à ce moment-là. Le stress n’est pas là pour les concerts parce que les gens n’ont pas « sacrifié » des choses, du temps, des moments humains, des activités, chose que certains font pour les révisions. Moi qui suis une grande bosseuse, je suis devenue une petite joueuse aujourd’hui pour les révisions par rapport à certains dans les maestros. Il y en a qui passent leur année à ne faire que cela, à s’enfermer, à réviser tous les jours. Tout le monde ne le fait pas mais certains le font. Avec un tel rythme de vie, c’est logique, on a une attente très importante de ces masters, qui suscitent un stress indéniable. Cela ne va pas nuire à une bonne ambiance, ce n’est pas vrai mais ça libère certaines tensions au moment du tournage. Quand il est terminé, tout se relâche et ça fait du bien. Mais, en amont, il y a quand même des gens tendus, on est tous un peu stressés parce que l’on n’a pas envie d’avoir travaillé pour rien en fait, tout simplement.

Mais, oui, c’est un énorme plaisir de les retrouver chaque année, de faire de nouvelles rencontres aussi parce que le groupe s’agrandit à chaque fois. C’est fabuleux, des gens de l’extérieur auraient presque du mal à dire qui est là depuis sept ans et qui vient juste d’arriver, tellement on a l’habitude d’ouvrir ce groupe à de plus en plus de personnes. Donc, oui, ce sont de chouettes retrouvailles à chaque fois, même si je préfère celles après le tournage…comme ça, on n’a plus rien à penser, c’est beaucoup plus sympa !

 

 

Nous sommes à quelques jours de la rentrée, qui sera singulière pour vous, après un choix fort d’orientation, vous permettant d’avoir plus de temps pour travailler certains projets artistiques…

Oui, effectivement ! Ca fait maintenant depuis 2020 que j’ai mon projet qui a commencé, avec le premier single « Cliché de fille ». Suite à l’engouement qu’il y a eu autour, auquel je ne m’attendais pas, j’ai continué à travailler ce projet, particulièrement avec Doriane Bedel, qui est l’auteur-compositeur de beaucoup de mes chansons. Aujourd’hui, treize chansons sont enregistrées, elles sont en boite, les photos sont faites également, j’ai plein d’éléments de mon album qui sont prêts, il me reste la fabrication du support physique, à travailler la publication de celui-ci, la communication à faire autour. Je me pose beaucoup de questions sur comment éditer cet album, est-ce que je m’autoproduits, est-ce que je cherche un label, j’ai beaucoup de questions sur lesquelles je n’ai pas encore eu le temps de me pencher avec mon métier de professeur des écoles. Je sens que le temps passe et que ce projet qui a plutôt bien évolué stagne. C’est très frustrant, j’ai ressenti cette frustration fois cent cette année de ne pas réussir à tout faire avancer en même temps, mon métier, la vie de famille, les tournées, les révisions des masters et ce projet musical qui me tient tant à cœur. Donc, effectivement, j’ai décidé de mettre ma carrière de professeur des écoles entre parenthèses, ce n’est pas une démission, je suis en disponibilité pour pouvoir réaliser ce projet et agir étape par étape, afin de les faire chacune assidument.

Donc, dans l’ordre, je révise les paroles puisque j’ai très peu de temps, je fais les tournages des masters et je me penche sur la concrétisation de mon album, que j’espère sortir le plus rapidement possible. Je vais quand même me laisser le temps de bien faire les bons choix. Le but étant de pouvoir chanter, il va falloir que je démarche dans la région, autour de Lille, des lieux où je pourrais présenter mes chansons. Pour pouvoir, à l’issue de ces petits concerts, proposer mon album à vendre. J’ai donc ce projet, qui est, à la fois, de produire mon album et de trouver des lieux où je pourrais chanter et vivre de la chanson, tout simplement.

Merci, Elodie, pour toutes vos réponses !

Publié dans Télévision, Musique

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