Louise Molinaro nous présente son actualité et ses projets artistiques !

Publié le par Julian STOCKY

 

 

Bonjour Louise,

 

Quel plaisir d’effectuer cette nouvelle interview avec vous !

 

Vous êtes une artiste aux multiples casquettes, chanteuse, comédienne etc… et vous allez investir tous ces talents dans un projet en cours de développement : la production d’un court métrage qui allie comédie et musique. Comment le présenteriez-vous ? 

 

Je le décrirais comme le premier d’une longue série. C’est entrer dans un univers fantasmagorique, libre d’interprétation, simple à aborder mais qui recèle une véritable complexité. Ma volonté est qu’il puisse toucher un maximum de personnes. Ce film n’est pas une finalité, le plus intéressant est le chemin emprunté pour le réaliser. Car c’est un vrai travail d’équipe. Il n'y a pas Une interprétation mais une multitude.

 

 

Quelle histoire y sera racontée ? Quels seront les thèmes abordés, sans bien sûr trop en dévoiler ?

 

Le film s’appelle « MindFuck», son titre est un terme anglo-saxon, il implique de perdre volontairement le spectateur. Il y a une intention dinduire ce dernier en erreur afin qu’il puisse se poser des questions. Sans trop en dire, on suit un personnage aux multiples visages nommé Erosethanatos. L’univers se veut métaphorique, sombre et lumineux. Du rêve à la réalité, on bascule.

 

La bande son est assez explicite, très sensuelle. Néanmoins, elle vient s’inscrire dans le film sans pour autant coller à l’image. C’est un court-métrage sur fond musical.

 

 

Quel est votre rôle dans ce projet ?

 

Je suis l’auteur de la chanson « Main Fucker ». Je l’ai écrite en collaboration avec un compositeur installé à New York. On a enregistré ce titre, qui s’inscrit dans un univers Trap-Hip-Hop-Baroque. Suite à cela, de fil en aiguilles le projet « Mind Fuck » s'est concrétisé. Lorsque j’étais aux Etats-Unis, j’ai rencontré un réalisateur avec lequel nous avons fait une maquette du clip dans laquelle j’incarnais pour la première fois ce personnage. A mon retour en France, j’ai voulu développer le clip en court-métrage. J’ai écrit le scénario puis, après avoir contacté Jean-René Cluzel, un réalisateur qui m’avait fait jouer par le passé, le projet a pu voir le jour. Nous espérons faire le tour des festivals.

 

Au-delà de ces 6 à 9 mois, avez-vous envie de prolonger l’aventure ?

 

Il y a d’autres projets en cours, mais celui-ci peut aussi se réaliser en moyen voir long métrage. S’il est bien reçu, et que le public nous suggère de le prolonger, c’est possible.

 

D’après vous, qu’est-ce qui pourra plaire aux spectateurs ?

 

L’esthétisme. L’univers. Entre paradis et enfer, la fiction confrontée à la réalité. Le spectateur pourra aussi bien s’identifier à cet univers qu’y adhérer avec curiosité.

 

 

De façon plus générale, quels sont vos autres projets ?

 

J’aime écrire des chansons, certaines sont actuellement en ligne, sur Soundcloud, et dont l’album est en préparation.

 

J’ai aussi un groupe indépendant, les Funk Brothers. On se représente sur la métropole lilloise. Nous aurons une programmation ponctuelle cette année, que vous pourrez suivre en ligne.

 

Quant à la comédie, vous êtes en train de finir un court métrage original, un fan film, sur une séquence non filmée d’Harry Potter. Pourriez-vous nous en dire plus ?

 

Le réalisateur Joris Faucon Grimaud a décidé de tourner une séquence relative aux origines de Voldemort. Il y met en scène des personnages de J.K. Rowling, à savoir les Gaunt qui sont de la lignée Serpentard, un projet superbe, à but non lucratif, à ne pas rater.

 

Merci, Louise, pour votre disponibilité !

Publié dans Musique, Télévision

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