Jérémy Garnek évoque pour nous sa passion et ses projets !

Publié le par Julian STOCKY

Bonjour Jérémy,

Merci d’avoir accepté de répondre à quelques questions pour notre blog.

1/ Vous êtes un jeune artiste et nous avons déjà pu vous voir notamment en télévision mais aussi pour une publicité. Comment vous est venue l’envie de devenir artiste ?

J’ai toujours aimé l’acting, j’ai toujours aimé jouer des rôles. Je suis dans un mouvement de jeunesse depuis tout petit, j’apprécie de faire rire les autres. Interpréter des émotions me plait.

Un ami ayant obtenu un petit rôle dans un film, cela m’a incité à tenter moi aussi l’aventure, je me suis alors inscrit en agence. Il y a 4 ans, cela a fini par payer. Au bout de 5 castings, j’ai eu la chance de décrocher un rôle dans une publicité pour la Française des Jeux, aux côtés notamment de Bixente Lizarazu. J’étais ravi d’obtenir cette opportunité aussi tôt, d’autant plus que je n’avais pas pris de cours.

Le tournage m’a beaucoup impressionné, je ne connaissais pas grand-chose alors du milieu. Je tremblais même pendant le maquillage. Au final, tout le monde m’a mis à l’aise et j’ai aimé faire ce que je faisais dès la première minute devant les caméras.

Cela m’a alors donné l’envie de faire de la télévision, je me suis tourné cette fois-ci vers des agents de comédiens et non de publicités. Il m’a fallu 4 mois pour obtenir une première réponse favorable, une sorte de mise à l’épreuve en fonction des retours que feraient ensuite les directeurs de casting. Ce qui m’a permis de décrocher un premier petit rôle sur TMC.

C’est une passion et j’ai vraiment envie d’en faire mon futur métier. C’est comme cela que je serai le plus heureux.

2/ Qu’est-ce qui vous plait tant dans votre quotidien ?

J’aime bien interpréter les choses et j’aime bien jouer des choses que j’ai envie de jouer. Comme je le disais, je suis dans un mouvement de jeunesse et j’y étais même animateur. Souvent, avant les activités proposées aux enfants, je devais faire des petites scènes d’introduction. Pendant trois semaines, nous devions chaque jour faire quelque chose de différent, j’aimais cela, je faisais rire les enfants, je me faisais aussi rire moi-même. Je suis plus dans l’humour que dans le sérieux.

Cette expérience m’a vraiment donné l’envie de jouer des choses dans la vie de tous les jours, de changer d’humeur.

3/ Revenons sur vos premières expériences. Qu’en retenez-vous ? Qu’est-ce qui vous a le plus marqué ?

J’ai eu la chance, dans mes deux premières expériences, d’être entouré de gens extrêmement sympathiques. Je ne connais pas encore, mais je sais que cela existe, l’antipathie du cinéma.

Ce qui m’a plu, c’est le milieu, c’est la sympathie des gens, c’est la passion qui s’y dégage. On fait ce métier par passion. Tout le monde aime ce qu’il fait.

Le milieu du cinéma m’attire, pas uniquement en tant qu’acteur. Je fais une Fac de cinéma et d’audiovisuel. J’ai envie, plus tard, de filmer, de réaliser, de produire.

Face au rythme soutenu d’un plateau de tournage, quelle est votre méthodologie de travail en amont ?

Je ne suis pas quelqu’un de stressé. Même la veille du Baccalauréat ou du permis de conduire. Sur le tournage pour TMC, j’étais très détendu, y compris au maquillage. J’ai bien appris mon texte mais j’ai surtout cherché à profiter de l’instant. Je ne veux pas trop réfléchir à ce que je vais faire pour justement ne pas être angoissé.

Même aux castings, je cherche à être à l’aise d’entrée de jeu. Je me dis que si ça ne fonctionne pas, tant pis, ce n’est que partie remise. Et, pour l’instant, c’est encore une passion, il est trop tôt pour parler de métier. Peut-être que le jour où j’en vivrai les choses seront différentes. A date, cela reste un plaisir.

4/ Quels sont vos projets et envies artistiques actuels ? Vers quels domaines aimeriez-vous vous tourner ?

Au-delà des castings que je continue à passer pour avoir des rôles de plus en plus importants, mon projet principal est de faire de la scène. Pourquoi pas même d’écrire mes textes.

L’an dernier, je m’étais intéressé à faire des cafés théâtres dans Paris, des scènes ouvertes le mercredi soir ou le dimanche soir. Faire rire les gens est, je pense, ce qui me plait le plus. Dans l’idéal, j’aimerais suivre un parcours comme celui de Kev Adams.

5/ Pour finir, que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

Du bonheur, que mes projets et mes rêves se réalisent. Ce sont des choses auxquelles je pense tous les jours mais je ne fais pas cela pour être célèbre. C’est une vraie passion avant tout. C’est un plaisir d’être dans un milieu que j’aime et que je regarde depuis tout petit avec des grands yeux.

Ce fut une joie, Jérémy, d’effectuer cette interview en votre compagnie !

Publié dans Télévision

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