Allen Tersic revient sur son parcours et évoque ses projets !

Publié le par Julian STOCKY

Bonjour Allen,

Merci d’avoir accepté de répondre à quelques questions pour le blog.

1/ Vous êtes un artiste aux multiples casquettes, à la fois modèle et comédien. Comment vous est venue l’envie de faire ce métier ?

Tout simplement à force de regarder de nombreux films et séries, j’ai commencé à m’attacher à pas mal de personnages. Notamment « How I met your mother ». J’ai aussi été inspiré par certaines idoles, comme Arnold Schwarzenegger, qui m’a donné l’envie de faire du sport.

Au final, je me suis aperçu que c’est vraiment ce que j’aime dans la vie et j’ai alors eu l’envie de me lancer dedans. Au départ, je ne faisais que des photos puis j’ai décidé de tenter ma chance lorsqu’un agent m’a contacté pour élargir mes domaines de compétences.

2/ Qu’est-ce qui vous plait tant aujourd’hui dans votre quotidien ? Pourquoi y prenez-vous autant de plaisir ?

Cela permet de progresser soi-même, dans sa tête, dans son corps et je pense que les deux ensemble sont très sains. C’est aussi l’opportunité d’inspirer les gens.

Par exemple, en  ce moment, j’essaie vraiment d’être prêt physiquement pour inciter les gens et leur donner l’envie de faire du sport.

3/ Selon vous, quels sont les facteurs de réussite d’un cliché ?

Un bon photographe, c’est extrêmement important. C’est-à-dire qu’il sait déjà, en amont, ce qu’il veut faire. Il a déjà alors l’idée de ce qu’il veut projeter sur ses photos. De mon côté, j’aime bien être surpris, même si j’apprécie regarder avant le travail que le photographe a déjà pu réaliser, ce qui me permet de m’y préparer. Mais pas trop, pour me laisser surprendre lors du shooting.

Et, ensuite, c’est l’attitude. Il faut être concentré et en même temps en vouloir.

La créativité, de la part du modèle et du photographe, compte beaucoup. C’est extrêmement important, cela permet d’échanger, de faire de belles choses et de nouvelles choses.

4/ Face au rythme souvent soutenu d’un plateau de tournage, comment vous préparez-vous en amont ?

C’est surtout une préparation mentale. La première chose à se dire, c’est que l’on n’a rien à perdre. Les seuls regrets que l’on peut avoir sont les chances que l’on n’a pas saisies. A partir de là, le stress disparait car l’on n’a aucune peur de se rater. Dans tous les cas, ça ne peut être que bien, par rapport à rien du tout.

Les deux casquettes sont complémentaires, pour l’attitude notamment. Derrière un appareil, on doit adopter une certaine attitude, en fonction de la photo attendue. C’est un peu pareil sur un tournage, où il faut s’adapter à ce que le réalisateur veut. Il faut, à chaque fois, se mettre dans la peau d’un personnage et d’une situation.

5/ Plus généralement, quels sont vos projets et envies artistiques en ce moment ? Vers quel domaine aimeriez-vous vous tourner ?

J’aimerais faire encore plus de photos, pour progresser un peu plus dans ce domaine. Ce qui me permettrait d’avoir encore plus de confiance et d’accumuler de l’expérience.

Je souhaiterais aussi me lancer pleinement dans le domaine de la comédie, de l’acting. Pour cela, je commence à prendre des cours, pour proposer quelque chose de bien, de spontané, de sincère. Pour ne pas surjouer non plus.

J’ai toujours eu un penchant pour les rôles de bad boys ou de machos. Des personnages de cette nature m’ont souvent fait rire. Ils ne sont pas faciles à interpréter, mais ils sont sans doute très intéressants à faire.

6/ Pour terminer, que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

De rester en bonne santé, c’est la chose la plus importante. Mais aussi de progresser dans tous les domaines, pour m’enrichir culturellement, physiquement et aussi en termes d’expérience.

Il est aussi important de rencontrer les bonnes personnes au bon moment.

Ce fut un plaisir, Allen, de nous entretenir avec vous !

Publié dans Télévision

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